Regards

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Ces amis qui poussent Israël vers l'abîme

Publié le mardi 8 août 2006 (par Dominique)

Je choisis de mettre à disposition, en relais du journal le Monde, cet article d'un auteur plus connu pour ses romans, que pour sa pensée politique,Tahar Ben Jelloun, écrivain franco-marocain.. Son article a l'intelligence de faire appel au réalisme, dont il est rarement question dans le débat Israelo-Palestinien. Ce texte, même s'il est par certains aspects trop naïf, trop idéaliste, si on peut lui reprocher de mettre de côté beaucoup de réalités politiques et religieuses, d'être très incomplet sur le plan historique, il a le mérite de synthétiser clairement le drame qui se joue actuellement dans cette partie du globe.

Un texte qui présente l'autre versant, qui pose des questions, des postulats pour nourrir notre propre réflexion sur la dernière guerre en cours… et au delà sur le sens de la VIE tout simplement.

Depuis bientôt 60 ans la haine, les massacres, le terrorisme s'activent et pourtant il faudra bien un jour trouver comment lâcher les idéologies, arrêter de compter les coups et regarder la réalité de la vie des humains de ces terres massacrées.
Comment accepter que des analyses pertinentes et sensées restent sans écho dans la communauté internationale qui se prétend pourtant si bien informée ?
L'antisémitisme existait bien avant l'occupation des territoires arabes de 1967.
Une question me brûle les lèvres : si l'État d'Israel n'existait pas, y aurait-il ou pas de guerre en Palestine ?

Un élément essentiel malgré tout me semble oublié dans ce texte : les habitants de ces pays en guerre. Les femmes, les enfants, les agriculteurs, tous ceux qui font la vie d'un peuple et d'un pays et qui font les frais des idéologies, des accords économiques internationaux, des dogmes des religions poussés à l'extrême. L'être humain au départ demande seulement à vivre en paix avec sa famille, à travailler pour se nourrir et profiter tranquillement de la vie terrestre. Il semble que cela soit totalement oublié : VIVRE et APPRECIER la VIE TERRESTRE pour tout ce qu'elle peut apporter de beau et de bon à chacun. Et cela bien au-delà des prérogatives des grands trusts, des idéologies politiques et religieuses qui ne cherchent jamais le bien des gens mais le plus de biens à acquérir.

L'AVOIR et le POUVOIR s'affrontent dans une lutte sans merci à la surface de la terre. Autrefois nous ne savions pas son étendue car l'information était plus lente à se répandre. Aujourd'hui nous sommes beaucoup plus nombreux, les trésors de la terre diminuent, l'homme saccage la planète sans conscience des conséquences. Les états ont peur de perdre de l'influence, du pouvoir, donc ils cherchent à mettre la main sur le maximum de matières premières au détriment de la VIE.

Tous nos politiciens auraient-ils oublié le véritable sens de la VIE ?

Les extrémismes de tous poils s'arrêteront-ils un jour, pour laisser l'humanité admirer et vivre pleinement la beauté de cette terre qui la supporte et nourrit ses enfants de la naissance à la mort ?

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Le meilleur des deux mondes

Publié le mardi 8 août 2006 (par Dominique)

Un article qui pour moi pose des questions pertinentes et invite à la réflexion personnelle sur les évènements en cours. Une fois de plus même si je publie ce jours plusieurs articles sur ce sujet brûlant du Liban, il n'y a pas de positionnement politique. Je suis seulement à l'écoute des autres voix qui se font entendre, trop faiblement par rapport aux matraquages médiatiques et de les diffuser.

Un citoyen français engagé volontaire dans une armée étrangère en opération de guerre contre un peuple ami, sans mandat explicite du gouvernement français, peut-il se prévaloir de la nationalité française ?

Le mutisme est complet sur ce point, refoulé au tréfonds du subconscient national telle une consigne implicite tant de la classe politique que dans les médias. Certes le sujet fâche, car il fait tâche. Mais la solidarité avec Israël, pour légitime qu'elle puisse être pour de larges secteurs de l'opinion occidentale, ne saurait occulter le débat de fond que cette question pose tant au niveau du droit que de la morale.

Le cas de Gilad Shalit présente en la circonstance un parfait cas d'école. À ce titre, il peut paraître opportun qu'il soit soumis, pour avis, aux autorités juridictionnelles (Conseil d'État, ministère de la justice) compétentes tant il est vrai qu'une réponse circonstanciée en la matière ferait œuvre de jurisprudence à l'effet de lever les ambiguïtés futures.

Caporal de l'armée israélienne capturé le 25 juin 2006 par les Palestiniens, Gilad Shalit peut -il se prévaloir de la nationalité française et réclamer es-qualité l'intervention diplomatique du gouvernement français. Son engagement dans l'armée israélienne, sans mandat gouvernemental français, entraîne-t-il, sinon la déchéance de sa nationalité, à tout le moins la caducité de son droit à invoquer la protection de la nationalité française?

Le Quai d'Orsay a donné à savoir à diverses reprises qu'il s'impliquait dans la libération du caporal Shalit, - non pas tant pour des raisons humanitaires ce qui peut paraître concevable, mais du fait de sa “nationalité française” -, omettant de préciser que ce citoyen se trouvait en opération de guerre dans une armée étrangère contre un peuple supposé ami de la France, le peuple palestinien.

Mutatis Mutandis, un français de confession musulmane qui choisit d'effectuer son service militaire au Soudan en guerre contre le Tchad, ou un arabe chrétien de nationalité française qui sert dans les rangs de l'armée ivoirienne, continueraient-ils de bénéficier, eux, de la protection de la nationalité française dans l'hypothèse de leur capture ou pèseraient sur eux immanquablement la suspicion.

Le cas de Gilad Shalit ne constitue pas un cas isolé. Ainsi un bi-national franco-allemand qui choisit de servir le drapeau d'un pays tiers par affinité religieuse, en exerçant non une option de nationalité mais une requête en naturalisation, a-t-il vocation à assumer des fonctions de conseiller ministériel dans son pays d'origine ?

Son statut de réserviste d'une armée en guerre contre un pays ami de la France, à tout moment réquisitionnable, lui confère-t-il la quiétude suffisante dans la gestion d'un sujet aussi épineux que celui des “sans papiers”. Cette situation juridiquement sinon exorbitante du moins insolite, ne le place-t-elle pas en porte-à-faux dans sa fonction, en cas de mobilisation de son armée d'affectation ?

La nomination de Arno Klarsfeld, juriste français et réserviste de l'armée israélienne, au poste de conseiller du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy sanctionne-t-elle la carence française dans le domaine des compétences ou relève-telle d'une manÅ“uvre électoraliste ?

Au delà du cas Shalit, se pose le problème plus général de la dualité d'allégeance des bi-nationaux franco-israéliens, (ou franco arabes ou franco-africains de confession chrétienne ou musulmane) dans l'exercice de responsabilités politiques ou militaires en France ou en Israël, particulièrement en temps de guerre.

La double allégeance justifie-t-elle la confusion juridique ? Exonère-telle de toute obligation de réserve au point de se vivre comme un passe droit ? Le service militaire dans l'armée israélienne constitue-t-il désormais un passage obligé à des promotions politico-administratives en France ? Préfigure-t-il la collaboration future entre les diverses composantes de “l'axe du bien”, telle qu'elle est préconisée par les néo-conservateurs américains et leurs relais français ? Un axe constitué, selon ses promoteurs, par les États-Unis, Israël, au-delà, la droite française et le judaïsme institutionnel français, face à un “axe du mal” regroupant grosso modo le tiers monde arabo-musulman bariolé et dont le ralliement à sa cause de Philippe de Villers, représentant de la droite traditionnelle, le découvreur des mosquées souterraines de l'aéroport de Roissy, n'en est que la manifestation la plus pathétiquement symptomatique.

La question peut paraître dérisoire au regard des enjeux de puissance que sous tend cette nouvelle guerre du Liban, des morts et destructions de l'été 2006 qui se sont ensuivis tant au Liban qu'en Palestine qu'en Israël même.

Alors que la France s'emploie activement à retrouver un rôle diplomatique au Moyen-orient, il importe que le droit soit dit et redit tant il est vrai que les grandes civilisations se meurent des entorses répétitives qu'elles commettent à l'encontre de leurs propres principes.

Toute explication sur une question qui demeure dans le flou près de quatre semaines après la capture du soldat israélien de nationalité française serait la bienvenue pour l'édification des générations futures.

René Naba est journaliste-écrivain. Ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomtique de l'Agence France Presse (1978-1990), ancien conseiller du Directeur Général de RMC pour l'information (1989-1994)

Dernier ouvrage paru “aux origines de la tragédie arabe”- Editions Bachari 2006.
Précédent ouvrage “Du bougnoule au sauvageon, voyage dans l'imaginaire français”- Harmattan 2002.

Nous irons bien demain, et vous ?

Publié le mardi 8 août 2006 (par Dominique)

Je ne suis partisane ni pour, ni contre, les uns ou les autres. La voix de ceux qui subissent des agressions, exactions ou autres sévices méritent simplement d'être entendus. Aussi j'ouvrirai régulièrement mon blog à ces témoignages venus du Liban, réceptionnés grâce à une amie québécoise. Offrant ainsi un espace pour être lu, entendu, pour laisser une expression autre que celle des médias officiels. Autant que possible je citerai mes sources avec précision.

Texte transmis via Lina El Baker, par Robert Bibeau de Montréal - Québec - Le 31 Jullet 2006

Beyrouth le 30 juillet 2006

Drapeau libanais
Drapeau libanais

Je pourrais m'obstiner à dire : “Nous allons bien, et vous ?
Pour rester fidèle à notre honnêteté envers tous nos amis, ce matin, à l'heure qu'il est, je ne le puis.
Je trahis notre promesse collective : Je ne vais pas bien !

Je suis seul, j'ai rendez-vous avec mes admirables coéquipiers demain matin (inch'allah), je suis seul avec les images et les cris des victimes du nouveau carnage commis par l'armée israélienne : le village de Qana, à l'Est de Tyr, contrôlé par les Forces de l'ONU, célèbre par les noces bénies par un certain Jésus il y a deux millénaires, célèbre par un carnage commis par l'armée israélienne le 16 avril 1996 (avant-dernière en date des agressions israéliennes sur le Liban).

QANA, CE MATIN, A DE NOUVEAU ETE LA CIBLE DES CRIMINELS DE TSAHAL : une habitation de trois étages ou dormaient une cinquantaine de civils, pour la plupart des femmes et des enfants, a reçu la carte de visite d'un superbe pilote israélien, aux nerfs d'acier et à l'étincelante technologie, capable de déchirer le ciel et d'atteindre une cible avec une précision admirable (camion de ravitaillement, camionnette surchargée de réfugiés, antenne de télécommunication, vélomoteur(!).), Herakles moderne capable de semer la mort avec un seul doigt.

CE MATIN, À L'AUBE, 35 CADAVRES (dénombrés à l'heure qu'il est) : 21 ENFANTS ET QUATORZE ADULTES PRESQUE TOUS DES FEMMES, portent la signature indélébile et infamante de ce salopard qui n'aura même pas le courage de dire son nom.

Ce matin, un pilote israélien se sent bien dans sa peau, et moi, je ne vais pas bien.

Pour ceux qui ne le savent pas: Entre Marwahine (15 juillet) et Qana (30 juillet), plusieurs autres carnages de ce genre ont été perpétrés, Srifa, Nmeyrieh, . je ne suis pas capable de les citer tous ni d'en parler avec précision. Un jour, les historiens parviendront à comptabiliser le nombre de morts et à dénombrer les massacres dont Tsahal devra répondre, je crois qu'on sera consterné.

Ce matin, nous avions (dans notre groupe), décidé de vous parler d'autre chose. Nous ne sommes pas encore prêts à le faire (en ce qui concerne les détails concrets, pour que notre message soit précis), mais devant l'urgence, je vous supplie de prendre au sérieux cette information et cet appel : Bush a annoncé à Washington et Israël confirmé l'envoi de 1.500 bombes d'un genre nouveau (des bombes “intelligentes” c'est comme ça qu'on les appelle, en anglais “smart bombs” d'une puissance de destruction et d'une capacité de précision inégalées), afin de compenser l'impuissance de l'armée israélienne à réduire la résistance libanaise et la déroute humiliante qu'elle a essuyée dans l'échec de l'avancée terrestre dans la région de Bint Jbail. Ces 5.000 bombes ont déjà quitté les États-Unis et une partie se trouve déjà en Israël après avoir fait escale en Ecosse où M. Blair leur a prêté une base pour le réapprovisionnement en carburant.

  1. M. Blair a-t-il l'approbation de son gouvernement ?
  2. Les Anglais acceptent-ils que leur pays serve de relais aux “armes de destruction massive” que leurs soldats ont soi-disant été cherché en Irak ?
  3. L'ONU, les Etats d'Europe, ont-ils un mot à dire à ce propos ?
  4. Les peuples d'Europe vont-ils donné leur suffrage à cette ignominie et construire l'Union Européenne en assumant le rôle de laquais des États-Unis ?
  5. Le monde est-il prêt à supporter les conséquences écologiques et humaines de cette guerre sur laquelle vont se modeler les prochaines entreprises de destruction de la planète ?


Il y a urgence URGENCE URGENCE URGENCE

Si nous devons payer le prix de cette barbarie et que le monde n'a pas les moyens de l'empêcher tout de suite, que cela serve au moins à créer un sursaut.

Je viens à l'instant de recevoir des précisions sur les “cadeaux” de Bush à ses amis israéliens: il s'agit des JDAM (Joint Direct Attack Munition). Une bombe JDAM est une bombe guidée par GPS. De telles bombes ont été utilisées par l'armée américaine en Afghanistan, durant la guerre du Kosovo et en Irak (notamment en 1998 lors de l'opération “Desert Fox”), elle sont une partie importante de l'armement air-sol de ces forces. Actuellement améliorées, (variantes GBU - guided bomb units -, système satellitaire de guidage de haute précision), elles sont “intelligentes” c'est-à-dire “guidées” après avoir été lâchées à haute altitude, n'explosent pas au moment de l'impact mais sont munies de “pénétrateurs” qui leur permet de s'enfoncer jusqu'à une profondeur qui peut aller jusqu'à 30 mètres à l'intérieur du sol. L'explosion en profondeur a une puissance de destruction phénoménale dans un périmètre donné (j'ignore pour le moment le chiffre), et des effets électromagnétiques pouvant brûler les gens, provoquer des court-circuits sur les villes, détruire les centres nerveux électroniques, absorber l'oxygène des souterrains et des espaces clos !!! (consultez si vous voulez Google et Wikipedia)

Nous avons besoin d'urgence d'Emile Zola, de Jean Jaurès, de Léon Blum. Pas pour nous protéger et nous sauver d'une catastrophe de plus en plus inévitable, mais pour accuser, défendre l'honneur de la communauté humaine, laisser une chance à l'avenir de l'humanisme, témoigner de la criminalité des uns : Bush et sa bande de trafiquants d'armes et de milliardaires du pétrole, Tony Blair, traître à son pays en étant au service d'un autre, et l'État Major israélien, la complicité des autres, l'Arabie Saoudite, la Jordanie, l'Egypte, l'Allemagne, et tous ceux qui ont cautionné la destruction du Liban pour se débarrasser du Hezbollah, le laxisme honteux de l'ONU, de la France, de l'Europe, des Arabes, qui n'osent pas prendre une position ferme et honorable par je ne sais quel calcul politique, diplomatique ou mercantile.

Je livre les criminels aux jugements de l'Histoire, leurs complices à l'opprobre de leurs peuples, les impuissants à leurs tourments de fonctionnaires incapables de démissionner et d'avouer leur incompétence.

Pour nous, êtres humains de partout, sans armes et sans pouvoirs, que le temps dont nous sommes les maîtres, le nôtre, soit cet espace sans frontières où la parole, indestructible, résiste à toutes les armées du monde, échappe à tous leurs crimes, devient poème, chanson, musique, image, larmes et sourires, mémoire des morts, thrénodie des villes détruites et des terres brûlées, hommage aux enfants qui nous ont donné leur sève.

Signé : Roger Assaf, Issam Bou Khaled, Kamal Chayya, Rawya El Chab, Zeina Saab De Melero, Said Serhan, Fadi el Far, Tarek Atoui, Hagop Der Ghougassian, Abdo Nawar, Hanane Hajj Ali, Abder Rahman Awad, Zeinab Assaf, Bernadette Houdeib, Ibrahim Serhan, Nehmat Atallah.

Bonjour et Bienvenue

Publié le mardi 8 août 2006 (par Dominique)

À Toutes et à Tous qui viendrez faire un tour sur ce blog.

J'ai longtemps hésité avec un mélange d'envie et de rejet envers ce nouveau mode d'expression et de communication. Depuis plusieurs années je participe à la vie d'un site communautaire “Ciao” sur lequel il est possible de déposer des avis sur des produits, des enseignes, des voyages, etc, pour donner des éléments complémentaires et utiles aux internautes en vue d'un choix de produit, et, éventuellement d'un achat. Depuis le 14 juillet les “Ciao-nautes” un peu anciens, dont je fais partie, ont tous constaté une très nette baisse de qualité des avis déposés. Des avis inutiles, vide d'intérêt, de quelques lignes, très mal écrits, en style “sms”, avec une orthographe inexistante, ou encore dans un langage vulgaire vraiment inacceptable. J'ai plaisir à partager le fruit de mes expériences, recherches et réflexions, mais pas dans n'importe quel cadre.

Aussi j'ai commencé à regarder de plus près les blogs existants et à envisager de créer le mien. Me familiarisant avec leur lecture, j'ai constaté que cela n'était pas d'une grande complexité technique et que je pourrai ainsi aborder des sujets autres que ceux préformatés sur le site nommé au-dessus.

Si j'ajoute à cela, tout ce qui se passe dans le monde depuis quelques mois, une dégradation progressive de l'environnement immédiat (j'habite Avignon - ville de festival !!!), les échanges réguliers avec des ami(e)s vivant au Québec, en Italie, en Suisse, en Allemagne et dans d'autres régions de France (qui m'apportent des regards complémentaires extérieurs), font que naturellement j'ai eu envie d'élargir l'horizon et de diffuser un peu plus loin mes “Regards” sur ce monde qui m'entoure et qui mute en permanence, de plus en plus vite.

Il mute tellement vite, que l'humaine que je suis à de plus en plus de mal à suivre et à s'adapter à un environnement qui change tous les jours sur des points repères dans ma vies. Les modes de vie et de comportement changent beaucoup plus vite que par le passé. Les objets, les outils du quotidien se transforment chaque jour, en étant de plus en plus performants et nous force la main aux changements.

Je propose, au travers de ce nouveau mode d'expression, mon regard sur le monde qui m'entoure, sur les petites choses de la vie comme sur les enjeux plus vastes économiques et politiques, dont l'avenir de nos vies dépend même si nous avons toujours tendance à nous croire loin du feu et des bombes.

L'ouverture de ce blog est le 08/08/2006, jour de la Saint Dominique selon le nouveau calendrier du Vatican, n'a donc rien du hasard, elle est le fruit d'une réflexion, d'un choix conscient.

Beau et bon mois d'août à tous ceux qui visiteront mes pages au fil des jours à venir…

Loup hurlant