Christiane Singer
vendredi 6 avril 2007 Par Dominique, dans Développement Personnel -# 77 - Fil RSS
Pour ceux qui ont eu la chance de la croiser, de rencontrer Christiane Singer, ou mieux encore d'assister à une de ses conférences, ou de participer à un de ses séminaires, elle restera une voix, un regard, une attitude pleine de force, de vraie Présence, une autre voie dans ce monde en effervescence.
Pour ceux qui apprécieront de la retrouver vivante cet interview mené par le CICNS, (Centre d'Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités) en avril 2006 où elle exprime son vécu :
Vous pouvez télécharger la vidéo à partir de ce lien : Singeradsl.wmv.
Ce matin j'ai déposé un avis sur le site de consommateurs “Ciao”, concernant un de ces ouvrages paru dans la collection du livre de poche récemment : “Où cours-tu ? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?”
www.ciao.fr/Ou_cours_tu_Christiane_Singer__Avis_996092
Christiane Singer s'en est allée le 4 avril, elle a quitté discrètement la scène de cette terre depuis la ville de Vienne en Autriche, où elle habitait, dans le temps de Pâques. Elle a été emportée par un cancer foudroyant.
Un temps symboliquement lié à la notion de passage.
Passage d'une forme de vie à une autre.
D'autant plus pour elle, fille d'un père juif et d'une mère catholique, qui avait ajouté dans son cursus de vie, l'enseignement de Graf Karlfried Dürckheim, (disciple de Carl Gustav Jung) en Forêt Noire.
Aucun des médias, si friands de “nécrologies”, n'a relayé cette information.
Christiane était une auteure discrète, qui ne faisait des vagues qu'à l'intérieur du lecteur.
On ne sort pas indemne de la lecture de ses ouvrages.
Tous écrits dans une langue française subtile, claire, belle, fluide qui lui a valu cet automne le Prix de la langue française au festival du livre de Brive la Gaillarde.
Elle ne nous interpellera plus en direct, son regard profond ne plongera plus dans les méandres insondables, de ce que nous sommes.
Elle s'en est allée, emportée par un cancer foudroyant en quelques mois.
Je ne peux que vous inviter à la lecture de ses ouvrages qui nous accompagnent à la découverte de nous-même en toute profonde simplicité.
Pour vous y aider quelques repères bibliographiques essentiels :
Aux éditions Albin Michel, Paris :
Ce n'est qu'un au revoir à une grande dame qui restera présente dans beaucoup de mémoires anonymes…
Pour ceux qui apprécieront de la retrouver vivante cet interview mené par le CICNS, (Centre d'Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités) en avril 2006 où elle exprime son vécu :
Vous pouvez télécharger la vidéo à partir de ce lien : Singeradsl.wmv.
Ce matin j'ai déposé un avis sur le site de consommateurs “Ciao”, concernant un de ces ouvrages paru dans la collection du livre de poche récemment : “Où cours-tu ? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?”
www.ciao.fr/Ou_cours_tu_Christiane_Singer__Avis_996092
Christiane Singer s'en est allée le 4 avril, elle a quitté discrètement la scène de cette terre depuis la ville de Vienne en Autriche, où elle habitait, dans le temps de Pâques. Elle a été emportée par un cancer foudroyant.
Un temps symboliquement lié à la notion de passage.
Passage d'une forme de vie à une autre.
D'autant plus pour elle, fille d'un père juif et d'une mère catholique, qui avait ajouté dans son cursus de vie, l'enseignement de Graf Karlfried Dürckheim, (disciple de Carl Gustav Jung) en Forêt Noire.
Aucun des médias, si friands de “nécrologies”, n'a relayé cette information.
Christiane était une auteure discrète, qui ne faisait des vagues qu'à l'intérieur du lecteur.
On ne sort pas indemne de la lecture de ses ouvrages.
Tous écrits dans une langue française subtile, claire, belle, fluide qui lui a valu cet automne le Prix de la langue française au festival du livre de Brive la Gaillarde.
Elle ne nous interpellera plus en direct, son regard profond ne plongera plus dans les méandres insondables, de ce que nous sommes.
Elle s'en est allée, emportée par un cancer foudroyant en quelques mois.
Je ne peux que vous inviter à la lecture de ses ouvrages qui nous accompagnent à la découverte de nous-même en toute profonde simplicité.
Pour vous y aider quelques repères bibliographiques essentiels :
Aux éditions Albin Michel, Paris :
- Les cahiers d'une hypocrite - 1965.
- Chronique tendre des jours amers - 1976.
- La mort viennoise (Prix des Libraires 1979).
- Les âges de la vie - 1984.
- Histoire d'âme - 1988 (Prix Albert Camus 1989).
- Une passion - 1992 (Prix des écrivains croyants 1993). réédité en format de poche.
- Une passion entre ciel et chair, coll. “Espaces libres” - 2000
- Du bon usage des crises - 1997.
- Rastenberg - 1997.
- Éloge du mariage, de l'engagement et autres folies - 2000.
- Où cours-tu ? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ? - 2001
- L'urgence d'aimer - 1997 (Ed. Claire vision)
- Les Sept nuits de la reine - 2004.
- L'Alliance sacrée avec Edmond Blattchen.
- N'oublie pas les chevaux écumants du passé - 2005.
- Seul ce qui brûle - 2006.
Ce n'est qu'un au revoir à une grande dame qui restera présente dans beaucoup de mémoires anonymes…
Commentaires
#1 - Le mardi 10 avril 2007 à 21:15, par Pierre-Yves
#2 - Le mardi 10 avril 2007 à 21:18, par Nadia
#3 - Le vendredi 9 novembre 2007 à 10:06, par Frédéric
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