Depuis quelques années, une polémique sévit sur Internet, et aujourd'hui dans la grande presse internationale, au sujet de manipulations climatiques qui seraient menées depuis quelques années “discrètement” dans le but de diminuer le réchauffement climatique. Qu'en est-il, et qui va mesurer les effets de telles pratiques sur notre santé, et celles de nos enfants ?

Les tenants de la théorie des manipulations climatiques justifient leur point de vue par les observations à travers le monde de longues traces blanches persistantes laissées par des avions quadrillant le ciel, le transformant parfois en immense damier incongru. Les autorités interrogées affirment que ces tracés ne sont que des “contrails” (abréviation anglaise pour “tracés de condensation”), correspondant à la vapeur d'eau émise par les avions à très haute altitude, qui se transforme en cristaux de glace à des altitudes où la température de l'air est inférieure à - 40'C. Ils insistent également sur l'intensification croissante du trafic aérien.

Des explications qui manquent de clarté
Ces explications ne sont pas satisfaisantes, car les traces issues des avions “normaux” disparaissent au bout de quelques minutes. Au contraire des “contrails”, les “chemtrails” (“tracés chimiques”) peuvent persister pendant des heures ; ils s'élargissent peu à peu pour former un voile avant de se superposer et de se métamorphoser en nuages de plus en plus épais et foncés. Le jour suivant, un couvercle gris noir forme une chape de plomb au-dessus de nos têtes.

En outre, beaucoup d'avions laissant des traces persistantes volent à des altitudes beaucoup trop basses pour que des contrails puissent se former. Enfin, ils volent souvent en dehors des couloirs aériens et ont des trajectoires anormales (comme des virages à 90°). Les opérations secrètes qui provoqueraient ces aberrations qui défigurent nos cieux dureraient depuis plus de dix ans.

Depuis quelques années déjà…
Ces phénomènes, qui seraient apparus d'abord aux Etats-Unis lors des premières expérimentations au milieu des années quatre-vingt, sont observables aujourd'hui dans le monde entier Le black-out total entretenu tant dans les media officiels que dans la presse alternative et chez les grosses associations écologistes comme Greenpeace, semble aujourd'hui commencer de s'effriter. Depuis peu, des articles qui n'évoquent que des “projets” de ce type sont publiés dans la presse française (Le Monde, Le Point, Courrier International, Science et Avenir … ). Le black-out n'est-il pas fait pour éviter de créer une panique dans les populations ? Cependant, les fuites sur l'Internet émanant de météorologues ou de professionnels de l'aviation, de même que des rapports officiels, des photos et des vidéos d'observateurs de chemtrails, de plus en plus nombreux, pourraient contraindre les autorités à préparer en douceur l'opinion publique à révéler en partie ce qui se trame au-dessus de nos têtes. En Amérique du Nord, des associations de lutte contre les “chemtrails”, et de nombreuses personnalités ont dénoncé vigoureusement ces pratiques clandestines et leur dangerosité, parfois avant de se rétracter, comme le sénateur américain démocrate de gauche Denis Kuccinich. Ainsi, en mai 2006, le Sénat américain a voté en “fast track” une loi officialisant les manipulations climatiques (U.S. Senate Bill 517 et U.S. House Bill 2995).

Le changement climatique s'emballe
Selon les spécialistes du climat, le réchauffement global serait compris entre 20 et 11° ; au cours du XXIème siècle ; un chargement radical pourrait survenir en une seule décennie. Cette éventualité est au centre des problèmes de sécurité aux USA. Le rapport du Pentagone de 2004 “Le scénario d'un changement climatique brutal et ses implications pour la sécurité nationale des Etats-Unis” prévoit des pandémies, des émeutes et des guerres civiles et inter-étatiques pour l'appropriation des dernières ressources naturelles. “Le réchauffement global est proche du point de non-retour”, avertit le président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC - IPCC en anglais)1, premier organisme de surveillance du climat. il ajoute : “il n'y a plus une minute à perdre… c'est l'avenir de l'humanité qui est en jeu”.

En 2005, deux mois ont été les plus chauds jamais enregistrés ; c'est l'année au cours de laquelle les glaces de la banquise ont le plus fondu. Selon James Hansen, climatologue à la NASA, “les températures actuelles sont dans la fourchette haute de celles qui prévalent depuis le début de l'Holocene, il y a 12.000 ans”. Il poursuit : “si le réchauffement atteint au total deux ou trois degrés Celsius, nous verrons probablement des changements qui feront de la Terre une planète différente de celle que nous connaissons. (…) La dernière fois que la planète était aussi chaude au milieu du Pliocène, il y a environ trois millions d'années, le niveau des océans était environ de 25 mètres au-dessus dé celui d'aujourd'hui, selon les estimations.” [AFP, 26 septembre 2006. Depuis quatre ans, et pour la première fois depuis l'ère glaciaire, l'immense tourbière gelée sibérienne est en train de fondre, relâchant des milliards de tonnes de méthane, un gaz à effet de serre vingt fois plus puissant que le C02.]

À quand les premiers réfugiés climatiques ?
Selon le premier rapport de l'Observatoire National du Réchauffement Climatique (ONERC) paru en 2005, le réchauffement est de 50% plus important dans notre Hexagone que le réchauffement moyen sur la planète, ce qui entraîne des “conséquences colossales” pour notre pays. La multiplication des “phénomènes extrêmes” apportera “des changements profonds sur le mode de vie des Français”.

Des catastrophes environnementales à grande échelle - dont nous n'avons subi jusqu'ici que les prémices (inondations susceptibles de rayer de la carte de nombreuses îles et certains pays, grosses pénuries d'eau, famines consécutives à une aggravation des sècheresses et de la désertification, disparition accélérée de la biodiversité, pandémies… ) conduiraient à la migration d'au moins cent cinquante millions de personnes dans le monde, dès 2050, selon des chercheurs d'Oxford. Ces “réfugiés climatiques” viendront surtout des régions les plus pauvres et les plus vulnérables, comme les zones côtières (où vit la moitié de la population mondiale) et l'Afrique subsaharienne. Un quart des espèces animales terrestres et des plantes devrait disparaître au cours des cinquante prochaines années.

La surdité des gouvernements
Plutôt que de remettre en cause le mode de vie aberrant des sociétés développées, les autorités continuent de rassurer le public en lui proposant des solutions illusoires et souvent très polluantes - comme les biocarburants et la voiture électrique - et dangereuses, comme le nucléaire dit “de la deuxième génération” (en réalité, une technologie ancienne et obsolète qui n'a jamais fonctionné). Alors qu'aujourd'hui, seul un changement radical immédiat de notre mode de vie pourrait sauver la planète.

Depuis plus de trente ans, la surdité de nos gouvernants aux avertissements de personnalités et d'associations écologistes, et de rapports alarmistes (comme les rapports Meadows), leur absence de volonté politique de réduire les gaspillages et les pollutions - due à leur crainte de perdre leurs sponsors (en général, des pétroliers) et leur clientèle électorale, alliés à la désinformation des media “incorporés” au système, ont conduit à la catastrophe reconnue maintenant comme imminente, par les spécialistes les plus modérés. Cela amène aujourd'hui de nombreux scientifiques de l'Establishment à justifier le recours à des techniques d'apprentis sorciers.

Des sociétés privées de modification du temps
Les technologies de modification du temps se veulent-elles le marché du XXIème siècle ? La “géoingénierie” est une “nouvelle” technologie, à l'origine étroitement liée au secteur militaire. Le physicien John von Neumann commença à travailler sur les manipulations climatiques juste après la seconde guerre mondiale. À la fin des années quarante, le Département de la Défense investit dans ce domaine dans le cadre d'une “guerre de l'ombre” contre l'Empire soviétique, pour provoquer notamment des sècheresses susceptibles d'anéantir ses récoltes. En 1967, le projet “Popeye” appliqué au Vietnam réussit à prolonger la saison des moussons en ensemençant les nuages avec de l'iodure d'argent pour détruire les cultures de l'ennemi, empêcher le mouvement de ses troupes et leur ravitaillement le long de la piste Ho Chi Min.

À la même époque, on commençait d'utiliser la même technique dans le secteur agricole pour augmenter localement les précipitations. Depuis les années cinquante, les sociétés privées de modifications du temps proposant leurs services se sont multipliées (parmi les plus anciennes aux Etats-Unis : Atmospherics Inc., créée en 1960 ou TRC North American Weather Consultants). Plus d'un millier de projets ont été déposés aux Etats-Unis et dans d'autres pays du monde depuis plusieurs décennies.

Garantir le temps idéal pour les Jeux olympiques !
Les Chinois, leaders dans ce secteur. possèdent un Bureau de modification du Temps (dépendant de l'administration météorologique chinoise), dont la préoccupation actuelle est de garantir un temps idéal pour les Jeux Olympiques de Pékin en 2008. Quant au président russe Poutine, il se vante de préparer un soleil radieux lors de chaque grande manifestation officielle. Selon l'Organisation Météorologique Mondiale (OMM) [Créé en 1998 par l'Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). Site : hftp://www.ipcc.ch], il existe aujourd'hui plus de cent projets de modification artificielle du temps mis en œuvre par des dizaines de pays.

Mais ces manipulations climatiques semblent très anodines comparées à celles qui seraient en cours au niveau planétaire. Les deux principales institutions impliquées dans ces opérations sont le Lawrence Livermore National Laboratory et l'université de Stanford (Californie), dont Edward Teller, le père de la bombe H, considéré comme l'un des plus brillants savants du XXème siècle, resta le directeur émérite jusqu'à sa récente disparition.

Y a t-il des solutions raisonnables ?
“La politique actuelle sur le climat semble ne pas fonctionner Nous ne disons pas que nous avons la baguette magique, mais c'est une situation désespérée et les gens devraient commencer à penser à des moyens non conventionnels. Des projets préventifs à grande échelle sont nécessaires”. PR John Schellnhuber, responsable du principal groupe de scientifiques du climat britannique, cité in The Guardian 11 janvier 2004. C'est nous qui soulignons.

Les appels au recours aux technologies de modifications artificielles du climat se multiplient depuis plusieurs années. James Hansen, directeur du Goddard Institute for Space Studies (GISS) de la NASA à New York : “Nous devons stabiliser les émissions de C02 en moins de dix ans, sinon les températures augmenteront de plus de un degré. Elles seront plus élevées que celles que nous connaissons depuis cinq cent mille ans, et beaucoup de choses rie pourront plus être stoppées. Si nous voulons éviter cela, nous devons dès maintenant mettre en oeuvre les nouvelles technologies (...) Il nous reste peu de temps pour agir”. Le PR Schellhuber pense que la géoirigénierie offre des options beaucoup plus réalistes, plus efficaces et moins coûteuses que les mesures fixées par le protocole de Kyoto.

Un écran solaire géant
Dès 1997, dans un article du Wall Street Journal, Edward Teller, l'un des plus ardents défenseurs du projet “La guerre des étoiles” (et l'inspirateur du personnage du “Docteur Folamour” de Stanley Kubrick), préconisait d'utiliser les grands moyens pour refroidir la planète. Son “projet Manhattan pour la planète” consiste à créer autour de la terre un énorme bouclier chargé de détourner les rayons du soleil stabiliser le climat. Ces idées lancées par le physicien Freeman Dyson en 1979 ont été réactivées par les résultats d'études sur les conséquences de grosses éruptions volcaniques comme celles du El Chichon en 1982 : les particules de dioxyde de soufre crachées par les volcans dans l'atmosphère font chuter significativement la température terrestre pendant quelques semaines, voire plusieurs années. Pour le Pinatubo (Indonésie, 1991), cet écran a fait baisser les températures au sol d'environ 0,5°C en moyenne durant deux ans. Cela a correspondu en réalité à des refroidissements importants dans certaines régions, et des réchauffements dans d'autres, comme l'Europe du Nord. Cet écran solaire géant coûterait moins d'un milliard de dollars par an - moins que les mesures imposées par le protocole de Kyoto. Selon les calculs de Teller, un million de tonnes de particules d'aluminium et de soufre feraient chuter l'insolation terrestre de 1%, contrebalançant ainsi l'effet de serre. Les climatologues russes de l'Institut du climat mondial et de l'Ecologie préconisent des mesures similaires.

Un marché très prometteur
L'utilisation de la géoingénierie est le moyen de permettre aux pays développés de ne rien changer à leur mode de vie. C'est ce que sous-entendait Colin Powell lors du Sommet sur le développement de 2002, au cours duquel il avait réitéré le refus des Etats-Unis de ratifier le protocole de Kyoto, et révélé que les États-Unis étaient engagés “dans des actions pour satisfaire les défis environnementaux, y compris le changement climatique global, et pas seulement dans des rhétoriques”. Il avait précisé qu'ils avaient déjà dépensé “des milliards de dollars dans des technologies de pointe beaucoup plus efficaces que les mesures préconisées par ce protocole”. [Cf, http://sierraactivist.org/article.php?sid=16287 ]

Le marché de la géoingénierie est un marché très prometteur. D'autant que des études officielles, comme le rapport Stern (octobre 2006) commandité par le chancelier de l'Echiquier britannique, ont annoncé une récession économique “d'une ampleur catastrophique” si rien n'était rapidement engagé à l'échelle planétaire contre l'effet de serre : le produit intérieur brut mondial (PIS) pourrait baisser de 5% à 20% d'ici à 2100, entraînant un coût dépassant 5.500 milliards d'euros.

Et la santé dans tout ça ?
Le Centre National Américain des Recherches Atmosphériques estime que le moyen le plus efficace de réduction du réchauffement global est l'épandage de composés aérosols réfléchissants dans l'atmosphère, au moyen d'avions commerciaux et militaires. Hervé le Treut, directeur de recherche au CNRS, craint que “les aérosols modifient le monde” et indique que “les aérosols génèrent des pluies acides”.

Selon la NASA, le tryméthylène d'aluminium et le baryum, métal qui a la propriété d'absorber le dioxyde de carbone (C02), seraient parmi les produits chimiques les plus utilisés. L'effet indésirable de réduction du niveau de précipitations (le baryum absorbe également l'eau) a été neutralisé à la suite de nouveaux tests. La toxicité de l'aluminium est aujourd'hui reconnue comme facteur favorisant l'apparition de la maladie d'Alzheimer Henri Pezerat, éminent toxicologue, directeur de recherches au CNRS, rapporte que plusieurs études épidémiologiques menée dans six pays différents, ont conclu “à une augmentation notable de l'incidence de la maladie d'Alzheimer en relation avec une concentration trop importante dans l'eau de boisson” (cette relation est niée par l'institut de veille sanitaire qui refuse de prendre en compte ce métal lors du traitement des eaux).

Des accumulations nocives
Le baryum, un métal conducteur d'acides électromagnétiques, est un élément dangereux. Les sels de baryum pénètrent l'organisme par voie pulmonaire et orale. Les sels insolubles inhalés et déposés peuvent s'accumuler dans les poumons à la suite d'une l'exposition à long terme. Les sels solubles dans l'eau et les acides sont très toxiques lorsqu'ils sont ingérés. Le baryum entraîne des arythmies, des troubles digestifs (diarrhées, parfois hémorragiques, de violentes douleurs abdominales, des nausées et des vomissements), une asthénie intense et une hypertension artérielle. Les analyses de baryum sont très délicates et coûteuses. Seuls des tests effectués au Canada révélant des taux anormalement élevés de ce métal présent dans de l'eau de pluie ont été rapportés à la suite d'épandages intensifs.

Des effets incontrôlables à long terme: maladies respiratoires, allergies irritations, etc…
Les produits utilisés (qui ne sont pas tous identifiés) lors des épandages massifs pourraient contribuer à la multiplication des cas de maladies respiratoires et gastro-intestinales, d'allergies, d'irritations oculaires, de migraines, de symptômes grippaux sans fièvre, de pertes de mémoire et de confusion mentale, d'insomnies, de dépressions et d'autres symptômes inexpliqués que la médecine officielle ne sait pas traiter [Le journal “Las Vegas Tribune” rapporte que des milliers de témoins - “y compris des officiers de police, des pilotes, du personnel de santé” - ont fourni “des comptes rendus détaillés des épandages en X et en motifs de grilles, suivis d'une occlusion du ciel”. Dans les régions d'épandage intensif aux Etats-Unis, on observe “des réactions auto-immunes et des infections respiratoires, des cas” de migraines violentes, de saignements de nez, un manque de souffle, de douleurs]. Les symptômes dépressifs dus à la baisse de la luminosité, sont de plus en plus soignés par la luminothérapie, pratiquée jusqu'ici dans les seuls pays nordiques en hiver.

En outre, selon le climatologue Edouard Bard, PR au Collège de France, “L'injection d'aérosols perturberait un phénomène naturel appelé oscillation arctique, ce qui provoquerait des réchauffements locaux en hiver dans certaines régions, le refroidissement se concentrant sur d'autres. ( ... ) Avec de tels dispositifs de géoingénierie globaux, ce n'est pas seulement l'atmosphère qui est en jeu, mais le 'système climatique dans son ensemble, c'est-à-dire un gigantesque jeu de dominos d'une grande complexité. Prévoir et évaluer les effets collatéraux à l'échelle mondiale requiert, avant tout, un travail scientifique considérable impliquant climatologues, océanographes, géologues, astronomes, biologistes, agronomes, etc.” (Le Monde du 30 octobre 2006). Ces manipulations ne sont soumises à aucune législation dans la plupart des pays.

Alice Simmel


Pour en savoir plus

Revues
  • A Global Shield To Save The Planet, The Guardian, 11 janvier 2004,
    http:// observer.guardian. co. uk/uk _ news/ story/0,6903,1120491,00.html
  • Bard Edouard : La tentation de refroidir la planète (Interview), Le Monde, 30 septembre 2006.
  • Broad William : Les apprentis sorciers du climat, in : Courrier International, n° spécial, 4e trim. 2006 (repris du New York Times).
  • Bove Philippe et Ploye François : Les apprentis sorciers du climat, Le Monde Diplomatique, juillet 2002.
  • China “word leader” in artificiel rain, Reuter, 4 juin 2006.
  • Chinese conducting weather warfare research, East-Asia-Intel.com, 8 mars 2006.
  • Chossudovsky Michel : Washington's New Word Order Weapons Have the Ability to Trigger Climate Change, Third World Resurgence, 12 janvier 2001.
  • Dalton Markus K. : Les chemtrails sont au-dessus de Las Vegas, The Las Vegas Tribune, 19 août 2005.
  • Hansen et al : Efficacy of Climate Forcings in : Journal of Geophysical Research, septembre 2005.
  • Hansen James: Global Warming : Is There Still Time to Avoid Disastrous HumanMade Climate Change ? Discussion at the National Academy of Sciences, 23 avril 2006.
  • Kolbed Elizabeth : Les apprentis sorciers du climat, in : Courrier International, 2005 (repris du New Yorker, 21 juillet 2005).
  • Les maîtres du temps, Dossier, Sciences et avenir, novembre 2001, n° 657.
  • Lewino, Frédéric: Les savants jettent un froid, Le Point n° 1665, 12/08/04.
  • Mampey Luc : Le programme HAARP, Science ou désastre, rapport 98/5 du GRIP (Bruxelles), 84 p. www.grip.org.
  • Modification artificielle du temps, Organisation Météorologique Mondiale
    http:// www.wmo.int/web/arep/wmp/STATEMENTS/statwmf.pdf

Livres
  • Brown Lester : Plan B 20, Rescuing a planet under Stress and a Civilization in Trouble.
  • Le Treut Hervé, Jancovici Jean-Marc L'effet de serre. Allons-nous changer le climat ? Paris, Flammarion, 2004.
  • Monbiot George : Heat, Londres.
  • Viel Dominique : Ecologie de l'Apocalypse, Ellipses, 2006.