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Eruption du volcan Puyehue au Chili

Publié le mercredi 15 juin 2011 (par Dominique)

Le Puyehue est un volcan à 2.240 mètres d'altitude dans la Cordillère des Andes, à 870 km au sud de Santiago, son éruption le samedi 4 juin après 51 ans de sommeil, a entraîné l'évacuation de 3.500 personnes vivant dans une vingtaine de villages proche du volcan, qui dégage un nuage de cendres qui s'étend jusqu'à l'Argentine à l'est.
Sa dernière éruption importante remonte à 1960, après le terrible séisme de Valdivia, de magnitude 9,5, qui avait fait 5.700 morts au Chili.

Une douzaine de secousses de moyenne intensité, de magnitude 4 avaient été enregistrées en quelques heures et une centaine de faible intensité.

C'est à peine si les medias français ont signalé l'importante éruption de ce volcan chilien qui s'est réveillé après 51 années de sommeil le 4 juin au matin.

On nous abreuve de faux problèmes, de manipulations diverses et variées, toujours liées à des questions de gros sous, mais quand des populations, moins développées et tout à fait inintéressantes financièrement, sont en grande difficultés et soumises dans la durée aux caprices de la terre, l'information est complètement passée sous silence, juste un minuscule entre filet de temps en temps pour dire que le vieux Monsieur crache toujours.

On ne nous parle pas plus de la population japonaise qui doit faire face, pour le moitié du pays, à une catastrophe d'une envergure jamais égalée.

Quid des populations… ? Silence radio, ils ne sont pas intéressants.

Un manteau de cendres recouvre depuis le lundi 7 juin, les villes et les lacs de Patagonie argentine. Au sol, une couche de cendres de 2 à 5 cm d'épaisseur qu'on dégage à la pelle par endroit, en pleine ville, comme de la neige. Le ciel est en permanence obscurcit par la masse des cendres rejetées dans l'atmosphère. Les cendres émises sont largement plus importantes que celles produites récemment par le Grimsvotn, et l'an passé par l'Eyjafjoll en Islande.

Certes la cendre n'est pas dangereuse pour la santé car elle ne contient pas de phases cristallines de quartz et de cristobalite, comme l'a précisé le Centre Atomique à Bariloche, ville située à 1.600 km au sud-ouest de Buenos Aires et à 100 km au sud-est du Puyehue.

Si les populations se sont ruées sur les masques pour se protéger, la vie quotidienne depuis le 4 juin est très difficile, les aéroports de Bariloche, San Martin de los Andes, Junin de los Andes, Piedra del Aguila, El Bolson, Villa La Angostura et Traful, des villes touristiques près de la frontière avec le Chili, sont fermés, mais aussi celui de Bahia Blanca, sur l'océan Atlantique, à 680 km au sud de Buenos Aires.

Toutes ces zones vivent majoritairement du tourisme, la saison est d'ores et déjà gravement compromise. Car mise à part quelques curieux désireux de sensations fortes, et de photos sensationnelles, la plus grande majorité des touristes tentés par cette destination va changer ses projets de vacances.

24 heures après l'éruption du volcan on constatait la présence d'un nuage de gaz de 10 km de hauteur qui a rapidement pris l'allure caractéristique d'un champignon atomique. Les vents changeants se chargeaient du reste.

Majoritairement les populations concernées préfèrent rester chez elles et font face au problème avec beaucoup de calme. L'activité volcanique est présente dans la mémoire culturelle de ces populations : le Chili compte environs 3.000 volcans, dont 500 sont géologiquement actifs, et une soixantaine ont connu une éruption au cours du demi-siècle écoulé.

Le 13 juin le site fr.euronews.net, signalait que le nuage du Puyehue prenait de l'envergure, avec le constat de villes entièrement recouvertes de cendre dans le sud de l’Argentine. Les pluies de cendres se déposent depuis le début de la semaine sur l'ensemble de la Patagonie argentine provoquant de très gros dégâts sur l'ensemble des cultures. Des milliers de têtes de bétail (ovins, bovins) ont été tuées dans la pampa. Localement, il est tombé jusqu'à 20 cm de cendres sur la ville de Bariloche (Patagonie centrale), où la circulation est impossible, et les activités sont paralysées.

Un spécialiste expliquait : “Le volcan n’a jamais cessé d'être en éruption. Simplement, là, le nuage est à moins de 5.000 mètres. Ça ne veut pas dire que son effet diminue. Pour le moment, c’est comme ça. Mais personne ne sait ce que le volcan va faire à court ou moyen terme, et quelles vont être les prochaines conséquences.”

De superbes photos circulent sur le net.
J'ai choisi d'en regrouper une partie dans un diaporama.
J'ai signalé à chaque fois que j'avais l'information, l'origine des photos et le nom du photographe.


le reveil du Puyehue au chili
Lien de téléchargement : 110604_reveil_puyehue_chili.zip


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En date du 15 juin, le site Euronews.net signale que le nuage de cendre émanant du volcan continue son chemin sur le Pacifique, entrainant des perturbations en Nouvelle-Zélande et en Australie.

Actuellement aucun signe de stabilisation de l'état du volcan.

Les très fines particules en suspension dans l'air vont continuer de voyager sans doute pendant des mois.

Réintroduction des farines animales à l'automne ?

Publié le mercredi 15 juin 2011 (par Dominique)

Alors que s'aggrave la pollution des eaux des océans :
1) par la fuite de pétrole dans le golfe du Mexique (qui continue, même si les médias n'en parlent plus),
2) par la radioactivité intense et vérifiée depuis la catastrophe de Fukushima (dont les medias ne nous informent pratiquement plus),
3) par l'extrême pollution des côtes africaines, dont on ne nous rapporte absolument rien !, le Conseil National de l'Alimentation (CNA) étudie actuellement une possible réintroduction dans l'hexagone des farines animales dans l'alimentation des élevages en aquaculture dans un premier temps et à tout le secteur de l'élevage animal pour l'alimentation humaine ensuite.

Cela signifie, que d'ores et déjà, nous devons éliminer les produits de la mer de notre assiette, car ils sont dangereux pour notre santé à cause de la pollution et des niveaux de radiation trop élevés. Mais sans doute dans quelques temps nous devrons aussi éliminer les viandes, et bien sûr tous les produits laitiers (le lait de vache étant impropre à la consommation humaine - mais ça personne ne veut le savoir - car c'est l'aliment le plus pollué par les vaccins, antibiotiques, hormones de croissance…).

Une question de fond s'impose :
Les gouvernements de notre planète sont-ils tous d'accord, pour une fois…,
pour éliminer la race humaine ?


Quel est leur intérêt secret de chercher à éliminer la masse de leurs esclaves ?


Car si nous sommes un tant soit peu lucides, 99% des humains sont réduits en esclavage, toutes activités professionnelles confondues. Il suffit de prendre pour référence le smic (environ 1500 euros mensuels), ou le RSA (revenu minimum d'insertion 540 euros) et de le comparer au dernier salaire exorbitant annoncé, celui du patron de Peugeot : 9000 euros par jour ! Cet homme oublie que sans ses ouvriers (tant qu'ils ne sont pas tous remplacés par des robots) qu'il sous paye, son empire n'existerait pas.

Fin 2000, les farines animales avaient été interdites suite au problème de la vache folle.
On apprend aujourd'hui que le Conseil Consultatif des ministères de l'agriculture, de la santé et de l'économie, le CNA, doit rendre son avis définitif mi-septembre sur la réintroduction de farines animales.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit même si pour calmer l'inquiétude grandissante à l'annonce de cette nouvelle mesure, on nous dit que : “les protéines animales transformées (PAT), dont il est question aujourd’hui, n’ont rien à voir avec “ces farines” préciser.”

Devant les inquiétudes manifestées très rapidement dans tous les medias, et surtout sur la toile, la vice-présidente de l'organisme Madame Véronique Bellemain, relativise le poids de ce qu'elle annonce n'être actuellement qu'un “simple document de travail”.
Le véritable avis sera remis en septembre, en même temps que les avis scientifiques. Notre rôle est uniquement d'étudier les aspects économiques et sociaux d'une éventuelle réintroduction”, soutient-elle.
Objectivement, c'est une bonne chose de s'interroger car la situation a fortement évolué. Il y a vingt ans, la vache folle était une maladie nouvelle, et on n'avait aucune visibilité sur les cas humains. C'est pour cela que l'on a pris des mesures coûteuses mais fortes pour protéger les consommateurs.

Ce qu'ils omettent de dire :
c'est que les farines animales permettent à toutes les filières de l'élevage et de la pêche de tirer un bénéfice de leurs déchets (abats, peaux, graisses…) au lieu de payer pour les détruire. Cette valorisation est déchets n'est pas neutre si on tient compte des proportions non-valorisées de la filière alimentaire (48% du mouton, 46% du bœuf, 38% du porc et 32% des poulets n'étant pas valorisés…).
Donc la décision, en octobre dernier, lue dans le rapport du Conseil Général de l'Alimentation, de l'Agriculture et des Espaces Ruraux (CGAAER), concernant l'élevage des volailles, disant que l'accès aux farines animales serait un facteur important de consolidation de la filière, devient tout à fait logique.

Comment croire toutes ces doctes personnes qui se permettent d'envisager de nourrir les animaux qui constituent une part importante de la consommation humaine aujourd'hui, avec des produits qui ne correspondent pas à leur nourriture de base ?
Comment ces personnes peuvent-elles avancer que c'est sans danger pour les humains ?

De toutes façons, les consommateurs seront mis devant le fait accompli et une fois de plus n'auront pas voix au chapitre !

Il n'y a jamais de référendum sur toutes les questions vitales,
pour lesquelles des gens qui n'ont pas été élus prennent des décisions
qui ont TOUJOURS des conséquences sur des millions de personnes.


J'ajouterai que :
Contrairement aux discours officiels,
nous ne sommes pas dans des démocraties,
mais dans des oligarchies
toutes interconnectées
dont la seule et unique préoccupation
concerne leurs intérêts financiers,


Nous nous déplaçons avec des voitures polluantes parce qu'il n'y en a pas d'autres sur le marché ! Alors que d'autres solutions existent, que des prototypes fonctionnent parfaitement bien et seraient beaucoup moins coûteux en toutes énergies !!

Nous fumons des cigarettes hautement cancérigènes car ce sont les seules autorisées à la production et la vente, en toute connaissance de cause par les gouvernements de la planète, car elles alimentent remarquablement bien avec une régularité constante l'industrie de la maladie. Et comble de sadisme on culpabilise le fumeur avec des images d'horreur sur les paquets et on les désigne comme des pollueurs à l'ensemble de la société. Certes ce n'est pas sain quand on fume 20 cigarette par jour. Mais si on les fume, c'est parce qu'elles contiennent des substances qui rendent le fumeur dépendant !!!

Nous consommons des médicaments hautement dangereux pour notre santé et l'environnement dont les effets secondaires parfois mortels sont parfaitement connus des laboratoires comme des gouvernements qui sont à leur solde, et dans un même temps, non seulement on discrédite TOUTES les médecines naturelles, beaucoup moins dangereuses et beaucoup moins coûteuses pour le particulier, comme pour l'ensemble de la société, mais on diminue drastiquement la possibilité pour les populations de se soigner par les plantes.

Dans le cas des farines animales, si elles sont réintroduites, sous quelle que forme que ce soit, ce sera de toutes façons nocif pour l'être humain.

Se nourrir correctement devient un problème préoccupant actuellement, il est chaque jour, à cause des catastrophes, plus difficile à résoudre, si s'ajoutent ces nouvelles mesures, c'est un génocide organisé.

Que mangent nos élus ?
De quoi sont-ils faits pour résister à ce qu'ils mettent en place ?
Mangent-ils, et se soignent-ils avec les mêmes produits que les populations qu'ils ont en charge ?