Alors que s'aggrave la pollution des eaux des océans :
1) par la fuite de pétrole dans le golfe du Mexique (qui continue, même si les médias n'en parlent plus),
2) par la radioactivité intense et vérifiée depuis la catastrophe de Fukushima (dont les medias ne nous informent pratiquement plus),
3) par l'extrême pollution des côtes africaines, dont on ne nous rapporte absolument rien !, le Conseil National de l'Alimentation (CNA) étudie actuellement une possible réintroduction dans l'hexagone des farines animales dans l'alimentation des élevages en aquaculture dans un premier temps et à tout le secteur de l'élevage animal pour l'alimentation humaine ensuite.

Cela signifie, que d'ores et déjà, nous devons éliminer les produits de la mer de notre assiette, car ils sont dangereux pour notre santé à cause de la pollution et des niveaux de radiation trop élevés. Mais sans doute dans quelques temps nous devrons aussi éliminer les viandes, et bien sûr tous les produits laitiers (le lait de vache étant impropre à la consommation humaine - mais ça personne ne veut le savoir - car c'est l'aliment le plus pollué par les vaccins, antibiotiques, hormones de croissance…).

Une question de fond s'impose :
Les gouvernements de notre planète sont-ils tous d'accord, pour une fois…,
pour éliminer la race humaine ?


Quel est leur intérêt secret de chercher à éliminer la masse de leurs esclaves ?


Car si nous sommes un tant soit peu lucides, 99% des humains sont réduits en esclavage, toutes activités professionnelles confondues. Il suffit de prendre pour référence le smic (environ 1500 euros mensuels), ou le RSA (revenu minimum d'insertion 540 euros) et de le comparer au dernier salaire exorbitant annoncé, celui du patron de Peugeot : 9000 euros par jour ! Cet homme oublie que sans ses ouvriers (tant qu'ils ne sont pas tous remplacés par des robots) qu'il sous paye, son empire n'existerait pas.

Fin 2000, les farines animales avaient été interdites suite au problème de la vache folle.
On apprend aujourd'hui que le Conseil Consultatif des ministères de l'agriculture, de la santé et de l'économie, le CNA, doit rendre son avis définitif mi-septembre sur la réintroduction de farines animales.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit même si pour calmer l'inquiétude grandissante à l'annonce de cette nouvelle mesure, on nous dit que : “les protéines animales transformées (PAT), dont il est question aujourd’hui, n’ont rien à voir avec “ces farines” préciser.”

Devant les inquiétudes manifestées très rapidement dans tous les medias, et surtout sur la toile, la vice-présidente de l'organisme Madame Véronique Bellemain, relativise le poids de ce qu'elle annonce n'être actuellement qu'un “simple document de travail”.
Le véritable avis sera remis en septembre, en même temps que les avis scientifiques. Notre rôle est uniquement d'étudier les aspects économiques et sociaux d'une éventuelle réintroduction”, soutient-elle.
Objectivement, c'est une bonne chose de s'interroger car la situation a fortement évolué. Il y a vingt ans, la vache folle était une maladie nouvelle, et on n'avait aucune visibilité sur les cas humains. C'est pour cela que l'on a pris des mesures coûteuses mais fortes pour protéger les consommateurs.

Ce qu'ils omettent de dire :
c'est que les farines animales permettent à toutes les filières de l'élevage et de la pêche de tirer un bénéfice de leurs déchets (abats, peaux, graisses…) au lieu de payer pour les détruire. Cette valorisation est déchets n'est pas neutre si on tient compte des proportions non-valorisées de la filière alimentaire (48% du mouton, 46% du bœuf, 38% du porc et 32% des poulets n'étant pas valorisés…).
Donc la décision, en octobre dernier, lue dans le rapport du Conseil Général de l'Alimentation, de l'Agriculture et des Espaces Ruraux (CGAAER), concernant l'élevage des volailles, disant que l'accès aux farines animales serait un facteur important de consolidation de la filière, devient tout à fait logique.

Comment croire toutes ces doctes personnes qui se permettent d'envisager de nourrir les animaux qui constituent une part importante de la consommation humaine aujourd'hui, avec des produits qui ne correspondent pas à leur nourriture de base ?
Comment ces personnes peuvent-elles avancer que c'est sans danger pour les humains ?

De toutes façons, les consommateurs seront mis devant le fait accompli et une fois de plus n'auront pas voix au chapitre !

Il n'y a jamais de référendum sur toutes les questions vitales,
pour lesquelles des gens qui n'ont pas été élus prennent des décisions
qui ont TOUJOURS des conséquences sur des millions de personnes.


J'ajouterai que :
Contrairement aux discours officiels,
nous ne sommes pas dans des démocraties,
mais dans des oligarchies
toutes interconnectées
dont la seule et unique préoccupation
concerne leurs intérêts financiers,


Nous nous déplaçons avec des voitures polluantes parce qu'il n'y en a pas d'autres sur le marché ! Alors que d'autres solutions existent, que des prototypes fonctionnent parfaitement bien et seraient beaucoup moins coûteux en toutes énergies !!

Nous fumons des cigarettes hautement cancérigènes car ce sont les seules autorisées à la production et la vente, en toute connaissance de cause par les gouvernements de la planète, car elles alimentent remarquablement bien avec une régularité constante l'industrie de la maladie. Et comble de sadisme on culpabilise le fumeur avec des images d'horreur sur les paquets et on les désigne comme des pollueurs à l'ensemble de la société. Certes ce n'est pas sain quand on fume 20 cigarette par jour. Mais si on les fume, c'est parce qu'elles contiennent des substances qui rendent le fumeur dépendant !!!

Nous consommons des médicaments hautement dangereux pour notre santé et l'environnement dont les effets secondaires parfois mortels sont parfaitement connus des laboratoires comme des gouvernements qui sont à leur solde, et dans un même temps, non seulement on discrédite TOUTES les médecines naturelles, beaucoup moins dangereuses et beaucoup moins coûteuses pour le particulier, comme pour l'ensemble de la société, mais on diminue drastiquement la possibilité pour les populations de se soigner par les plantes.

Dans le cas des farines animales, si elles sont réintroduites, sous quelle que forme que ce soit, ce sera de toutes façons nocif pour l'être humain.

Se nourrir correctement devient un problème préoccupant actuellement, il est chaque jour, à cause des catastrophes, plus difficile à résoudre, si s'ajoutent ces nouvelles mesures, c'est un génocide organisé.

Que mangent nos élus ?
De quoi sont-ils faits pour résister à ce qu'ils mettent en place ?
Mangent-ils, et se soignent-ils avec les mêmes produits que les populations qu'ils ont en charge ?