Je ne suis certainement pas la seule à me poser cette question vitale.
Le confinement des populations sur pratiquement toute la planète, montre très clairement à tous les peuples, la volonté d'asservissement total, voire de destruction, que l'ensemble des oligarchies dirigeantes des différents pays déploient actuellement.

Nous assistons à une véritable guerre contre les peuples.
Espérons que ces peuples se réveillerons et ne se laisseront pas berner par la facilité de recevoir un revenu universel, destiné au final à les museler et à leur couper toute envie de rébellion, et à terme, de les priver de tout espoir et toute possibilité de prendre enfin leur liberté.

Les peuples de la terre sont à un moment crucial de leur histoire :
Se laisser acheter pour tenter de survivre,
ou se relever, prendre les armes, pour enfin VIVRE LIBRES.

C'est aussi difficile, et aussi simple que cela.
Cela s'appelle : être au pied du mur !


Pierre Hillard, essayiste français, docteur en science politique, et spécialiste du mondialisme dont il critique depuis de nombreuses années, après des études très approfondies, le processus technocratique implacable de décomposition des nations et d'unification du monde.
Il a publié en 2017 le 1er tome de son “Atlas du Mondialisme” et en 2019 le 2ème tome, sous le titre d' “Archives du mondialisme - De la guerre contre l'Ancien et le Nouveau Testament”.

Dans cet entretien sur Factuelle 66, il dénonce la volonté de toutes les oligarchies de la planète de mettre en place une gouvernance mondiale avec l'instauration d'une monnaie planétaire dématérialisée, le tout reposant sur une spiritualité globale dont les canons serviraient magistralement le projet.

Le projet n'est pas nouveau, il y a eu de nombreuses tentatives, moins ambitieuses dans le passé de l'humanité, les peuples ont souvent réussi temporairement à se révolter, à limiter la mise en œuvre des ces projets, mais ils n'ont jamais réussi jamais à éradiquer définitivement ces tentatives d'esclavage.

Les sources malfaisantes du Mondialismes par le Pr Pierre Hillard