À force d'entendre depuis des mois, à longueur de journaux télévisés officiels, relayants toutes les idées stupides, criminelles et abracadabrantesques de nos “guignols du gouvernement”, les français perdent la boussole et ne sont plus capables d'un discours cohérent et sensé, ni du plus élémentaire discernement. Ils ont le cerveau farci de mensonges.

Ils ont peur, donc leur parole se trouve naturellement muselées, même quand ils ne portent pas “le masque” !!

Un exemple criant est le discours de Sabrina Deliry, qui relate son vécu auprès de sa mère en Ehpad en région parisienne.

Elle expose exactement ce que nous vivons avec ma sœeur par rapport à notre mère en Ehpad à Versailles. Nous avons dénoncé tous les élément qu'elle aborde dans ce témoignage, par 2 courriers adressés à l'administration en mai et juin 2020. On ne peut pas dire qu'ils aient été suivis d'un réel effet.

Les problèmes majeurs étant :
  • Le manque d'effectif au niveau du personnel,
  • Le manque très problématique de réel encadrement du personnel,
  • le fait que les Ehpads sont totalement inféodés aux décisions stupides, criminelles et arbitraires de l'ARS.
  • L'ARS étant un ramassis de bureaucrates pour qui le facteur humain ne rentre jamais dans l'équation précédant les prises de décisions.
Écoutez attentivement cette femme qui, manifestement, reste sous l'emprise de la peur face à une épidémie qui n'a JAMAIS existé et continue, de parler de geste barrières et de masques alors qu'il n'y a, à ce jour, pratiquement pas de malades du CoVid-19 !!

Elle est dans un double discours car elle croit malgré tout au danger :
“Le Covid est extrêmement dangereux et il faut protéger nos parents en Ehpad. Mais l’isolement et cet enfermement strict, loin de leurs familles, c’est tout aussi désastreux. C’est un véritable tsunami dévastateur pour eux. Ils ont besoin de ce contact parce que c’est la seule raison de vivre qu’ils ont. Ces contacts avec les gens qu’ils aiment.”

C'est un bel exemple de schizophrénie et fait que son message perd tout son sens alors qu'elle révèle une morbide réalité.

CRISE DU COVID : “LES RÉSIDENTS D'EHPAD ONT L'AIR DE MORTS-VIVANTS”