En premier lieu sur le site du Centre Hospitalier de Cholet, l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

Elle apporte des informations officielles totalement ignorées des français, jamais relayées par les merdias, démontrant parfaitement le fait que la population sert de cobaye à une expérience médicale.

Quelques point de la conclusion de sa communication :

Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.

Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).

“L’obligation” vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un “passeport vaccinal”.

Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de “défectueux” par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

L'article complet ici.

En parallèle à cette analyse très instructive, le message URGENT adressé aux professionnels de santé en France lancé par deux avocates, Virginie De-Araujo Recchia (en France) et Renate Holzeisen (en Italie) qui travaillent au sein du collectif international créé par l’avocat Allemand Reiner Fuelmich.

Elles incitent tous les professionnels de santé exerçant en France à rejoindre une action juridique très importante des soignants italiens et allemands initiée par sa collègue italienne devant la Cour de justice de l’Union Européenne (plus précisément devant l’European General Court, une des deux cours composant la CJUE).

Cette action juridique a 3 objectifs :
  1. Prévenir une obligation vaccinale pour les professionnels de santé exerçant en France.
  2. Annuler l’obligation vaccinale pour nos collègues en Italie.
  3. Annuler les décisions de la Commission européenne accordant une autorisation conditionnelle de mise sur le marché aux injections Covid-19 Vaccine Comirnaty Pfizer/BioNTech, COVID-19 Vaccine Moderna, et Covid-19 Vaccine AstraZeneca now Vaxzevria.

L'appel complet avec les modalités d'action ici.