Plusieurs collectifs de soignants rapportent la vérité sur la situation sanitaire en Martinique et en Guadeloupe.
Ils dénoncent les mensonges d'état. État qui s'obstine à décrire une situation catastrophique, complètement fausse pour faire peur aux français en métropole.

Les stocks d'Ivermectine et d'oxygène (fournis par “Air Liquide”) sont bloqués et mis sous séquestre par l'ARS pour empêcher les soins qui permettent de traiter les potentiels malades du Covid-19.

La Martinique refuse majoritairement la vaccination.
Les malades qui meurent sont atteints de la dengue.

Témoignage en Martinique :
L'État a fait réquisitionné les stocks d'ivermectine et d'oxygène




Le député martiniquais, Jean-Philippe Nilor, dénonce ces mensonges dans une vidéo postée sur Facebook.

Ne pouvant relayer la vidéo postée sur Facebook voici le texte :
« Au lendemain de la visite éclair de deux ministres, il y a de quoi être interpellé.
De toute évidence ces ministres ne sont pas venus pour voir, pour comprendre, pour écouter… mais pour nous asséner un discours bien rodé, bien préparé depuis Paris.

Et ce discours répond à deux objectifs majeurs.
Le premier c’est de nous culpabiliser, c’est à cause de nous, car nous ne sommes pas assez vaccinés…
Le deuxième objectif, c’est de valoriser l’action de la France qui vient nous sauver, nous les irresponsables.

Le ministre de la Santé va plus loin contre les élus qui ne relaieraient pas clairement le discours pro-vaccination forcée et ces élus seraient tenus responsables de la situation.
Mais qui est responsable de la gestion des hôpitaux ?
Qui est responsable du fait que ces hôpitaux en Martinique et en Guadeloupe sont sous-dotés ?
Qui est responsable du fait qu’au début de la crise, on se soit retrouvés en rupture de stock d’oxygène ?
Des personnes sont décédées par manque d’oxygène !
Qui est responsable, alors même que des protocoles existent avec l’ivermectine, le zinc… qui permettent de réduire les risques de développer une forme grave de la maladie ?
Pourquoi aujourd’hui, en Martinique et en Guadeloupe, nous nous retrouvons en rupture de stock d’ivermectine ?
Pourquoi ?

Et plutôt que de réapprovisionner les pharmacies en ivermectine ou autres médicaments alternatifs, on envoie deux cents militaires, qui, comble du paradoxe, ne sont pas vaccinés.

Nous n’avons de leçons à recevoir de personne, et surtout pas de ceux qui ne font rien en amont pour empêcher que la situation se détériore ; de ceux qui ne font rien en amont pour permettre aux soignants de soigner.
Nou là, nou doubout ! Tchimbé raid pa moli !
(Traduction : Nous sommes là, debout ! Tenez bon, ne faiblissez pas !) »

Une preuve accablante que l'État français cherche à organiser le chaos aux Antilles pour forcer les populations à la vaccination et tenter de museler les récalcitrants !