Nouvelle Calédonie, un territoire d'outremer, tellement loin de la métropole qu'on oublie les milliers de français métropolitains qui y vivent et y travaillent depuis de très nombreuses années.

Un résumé de la situation en ce mois de septembre 2021 envoyé par deux amies qui y vivent depuis plus de 20 ans.

« Je viens vers vous, pour tenter de faire savoir à l'extérieur de la Nouvelle-Calédonie d'où je vous écris, ce que nous vivons depuis le 3 septembre dernier. En effet, fin août dernier, sur ordre de l'État, les pharmacies et médecins ont dû remettre leur stocks d'ivermectine et chloroquine

Le 03/09 dernier, alors que nous étions en “covid free” depuis des mois, le Congrès a voté une obligation d'injection expérimentale, le pass vaccinal pour tous y compris les femmes enceintes et les enfants.
Un schéma complet pour les soignants au 31/10 au plus tard, pour les autres au 31/12 au plus tard et pour les enfants dés leur rentrée le 07 /10.
Obligation d'injection pour toute personne voulant entrer sur le territoire + quarantaine de 7 jours et une amende de 174 000 cfp (1 458 euros) est votée pour les “dissidents”

Le 06/09 : Comme par hasard, nous voilà avec des “cas”…
Le 07/09 : confinement strict et couvre-feu strict avec autorisations de sorties limitées et contrôles accompagnés de la pièce d'identité amende 1 5000 cfp (125 euros) si pas en règle lors de contrôle d'identité illégal bref… L'attestation de sortie est devenue un laissez-passer.
Des “vaccinodromes” ont été montés partout sur le territoire, et la pression et la désinformation médiatique et politique sont à leur comble depuis…
Les parents se voient déchus de leurs droits parentaux. L'accord d'un seul parent est suffisant pour la vaccination d'un mineur à partir de 12 ans, et aucune autorisation parentale nécessaire pour un mineur à partir de 16 ans !!!

15/09 : est accordée par le Haut Commissaire, une manifestation le 17/09 contre l'obligation d'injection, contre le pass vaccinal et pour l'autorisation des traitements autres… autorisation du gouvernement local et des renseignements généraux… Ça sent le piège à plein nez.

16/09 : Le Haut Commissaire repousse la manifestation au 20/09.

17/09 : Le haut Commissaire interdit finalement la manifestation, et interdit de manifester tout court.

20/09 : les citoyens décident d'une manifestation silencieuse via des banderoles disposées un peu partout dans la ville. La police nationale arrache les banderoles et se justifie par un arrêté qui aurait été pris par le Haut Commissaire d'interdire cette manière de s'exprimer ainsi… Les gens apeurés par les diverses menaces cèdent. Mais il s'avère que cet arrêté-là n'existe pas ! La Gestapo !

L'association EPLP a déposé un recourt en urgence pour :
- Faire lever l'obligation, d'injection,
- Également enlever le pass vaccinal,
- Demander a ce que les traitements ivermictine et chloroquine soient autorisés,
- Exiger que les données de pharmaco vigilance locale soient accessibles (nous les demandons depuis 2 ans !)

Le jugement est prévu pour le 07/10. Il ne nous reste plus qu'a prier que le juge ne soit pas lui aussi corrompu !

Ici tout va plus vite et plus fort que partout ailleurs dans les autres territoires d'outre-mer ou “ils” ont tentés d'imposer leur plan machiavélique, mais ou ils ont été renvoyé dans les cordes, même en Polynésie Française où l'obligation a été rejetée par la justice. Les pressions continuent,

Ici nous sommes leur dernière chance d'y arriver pour ensuite imposer l'horreur à tous les Français !

Nous ne sommes que 270 000 sur tout l'archipel, et nous sommes incarcérés, isolés, privé d'expression. Nous avons besoin d'aide pour faire savoir ce qu'il se passe, parce que nous avons besoin de soutien, que tous les Français se tiennent avec nous…

Pour votre information, le lien du site gouvernemental local