Pour votre information, ce témoignage écrit, publié par le Dr Amine Umlil, provenant d’un ex membre du Comité Scientifique Permanent de Pharmacovigilance de l’ANSM début octobre 2021.

Cette alerte confirme une fois de plus le bien-fondé des analyses proposées, dans un article du 20 janvier 2021 : Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la “preuve diabolique” (exigée des familles des personnes décédées), par le CTIAP (Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques) du Centre Hospitalier de Cholet.

Considérant que l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) n’aurait pas respecté la méthode qu’elle avait, elle-même, fixée dans le cadre de l’analyse des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19, l’auteur de ce témoignage, qui se présente comme étant un “membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM” aurait “démissionné” en juin.

Un extrait significatif de cette publication :
« Bonjour (…),

Je vous ai sans doute dit que j’étais membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM. J’en ai démissionné en juin, les engagements de “remise à plat du système” n’ayant pas été tenus.

Je viens réagir à votre article (…).

La règle officielle en pharmacovigilance, rappelée dans les premiers rapports sur les vaccins covid, est celle-là :
« L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence ». (Rapport ANSM du 28.01.2021, p.4. Je vous le transmets ci-besoin).
Prenons l’exemple des décès survenus juste après la vaccination des personnes de + de 75 ans par les vaccins Pfizer et Moderna. La cause du décès n’est pas identifiée. En conséquence, lorsque l’ANSM écrit dans ce même rapport « Après analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne conduit à conclure que ces décès sont en lien avec la vaccination » simplement parce que ces personnes avaient des comorbidités est un abus de langage et ne correspond pas aux faits.
Évidemment, les personnes notamment en EHPAD [Établissements d’Hébergement de Personnes Âgées Dépendantes] ont en grande majorité des comorbidités. Ce n’est pas suffisant pour affirmer qu’il n’y a pas de lien.
Selon moi, la vraie formulation devrait être celle-là, selon la règle rappelée par l’ANSM elle-même :
« Après analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne permet de conclure que ces décès ne sont pas en lien avec la vaccination, car aucune autre cause certaine n’a été mise en évidence ».
Cette différence entre la règle et son application par l’ANSM est inacceptable.

Vous écrivez (…) [concernant la sous-notification des effets indésirables qui est l’une des limites de la pharmacovigilance] (…).
On peut même penser que les vaccinateurs (médecins, pharmaciens, etc) ne vont pas se précipiter pour déclarer un effet indésirable post-vaccinal, notamment s’il est grave, car « on ne met pas en cause la vaccination », c’est un tabou bien intériorisé. Nous avons des témoignages très nombreux à ce sujet.
(…)

On peut penser qu’un jour une enquête judiciaire, et/ou une commission d’enquête parlementaire, vont se pencher sur les mensonges qui ont émaillé cette histoire du Covid.

Il faudrait que ces enquêtes analysent les déclarations d’effets indésirables (qui les a faites, selon quels critères, quel degré de fiabilité…).

Bien à vous,

De nombreuses familles, depuis le début de ces injections forcées, sont confrontées à ces problèmes de fuite en avant des acteurs de santé, inféodés aux laboratoires, au travers des dictats de l'État Français.

Surtout ne pas baisser les bras et porter plainte
pour mise en danger de la vie d'autrui et meurtre !!

Nos aînés, comme nos enfants, ne méritent pas d'être traités comme des cobayes,
et encore moins d'être euthanasiés pour participer sans le savoir
(car il n'y a aucun consentement éclairé véritable)
à un essai clinique à l'échelle de la planète.