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Les véritables résultats des élections présidentielles françaises de 2017

Publié le samedi 23 octobre 2021 (par Dominique)

La lutte acharnée de Donald Trump depuis novembre 2020, à la suite de la publication des résultats des élections présidentielles américaines, pour dénoncer et prouver la fraude électorale dont il a été victime, en apportant les preuves indiscutables de cette forfaiture, nous renvoie, nous français, à l'élection 2017 particulièrement “suspecte” qui semble être passée “comme une lettre à la poste”, ou quasiment inaperçue…

Il est évident que dans notre belle démocratie française, TOUTE la classe politique, SANS AUCUNE EXCEPTION ment à la population depuis des décennies.

Depuis quelques semaines, notre Président-Souverain est clairement entré en campagne électorale, même s'il s'en fiche complètement, puisqu'il brigue ouvertement la présidence européenne. Éric Zémour, personnage ambigu, sans classe, sans culture, sans programme se trouve propulsé par les médias (comme un certain Emmanuel en 2016) sous les feux de la rampe pour être son chalenger principal, face à d'autres vieux routiers de la politique, qui n'ont rien fait quand ils ont participé à de précédents gouvernements, ou font le même chapelet de promesses lors de chaque campagne !!!

Puisque les médias nous rabattent les oreilles de pronostics pour ces élections à venir…, – sans tenir compte du point de vue de nombreux français qui ne VEULENT plus d'élections, en tout cas pas sur le schéma actuel – il serait sans doute judicieux de s'intéresser enfin à ce qui s'est réellement passé lors de l'élection de 2017.

Plusieurs articles documentés révèlent les mécanismes qui ont permis à Macron de rafler la 1ère place sur le podium.
L’arrivée par fraudes graves de Macron à l’Élysée en 2017, du 27 janvier 2021 sur le site : Profession Gendarme
Il rappelle que l'article 35 la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793 énonce :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Il semblerait, que le pourcentage de la population ayant conscience de cette réalité concernant Macron et ses différents gouvernements ne soit pas assez important, pour que le Président du Sénat procède à la destitution de Macron, alors qu'il a tout les éléments en main.

Dans cet article, Brigitte Bouzonnie, démontre que « l’arrivée par fraudes graves de Macron à l’Élysée en 2017 est le résultat d’une action concertée de l’État profond français. L’arrivée à l’Élysée de Macron résulte aussi de l’utilisation des serveurs Scytl et Dominion, qui ont crédité fallacieusement le candidat LREM de 24% au premier tour. Exactement le même mode opératoire utilisé par Biden, nommé Président des États-Unis, suite à des fraudes abyssales ».

La journaliste rapproche le complot qui a mis Pétain au pouvoir en 1940, avec le coup d'État démocratique qui a amené Macron au pouvoir. deux témoignage de Macron lui-même ne laissent aucun doute :
Il dit lui-même, au cours d’un conférence de presse officielle qu’il était « arrivé par infraction à l’Élysée »
Il a avoué, au cours d’une conférence effectuée en 2017, qu’il avait été « choisi par Bildenberg ».
Et, qu’il n’y avait « pas de démocratie en France ».
Il existe un enregistrement vidéo de ces paroles, prouvant la véracité des mots prononcés par le petit banquier.

L'avocat, Régis de Castelnau, résume aussi parfaitement la situation dans un billet de son blog “Vu du droit” du 6 octobre 2019, intitulé : « Pourquoi il ne faut pas demander le départ de Castaner » :
« Le coup d’État financier, médiatique et judiciaire perpétré en 2017 a installé à la tête de l’État une bande minoritaire et illégitime. Incarnée par celui qui est leur chef, Emmanuel Macron ».

Le rôle des serveurs Scytl et Dominion :
Le serveur truqué SCYTL a joué un rôle cardinal. Le soir du premier tour, Macron faisait entre 6 et 9% des suffrages. Il y a eu une grande panne d’électricité. Tous les comptes des autres candidats ont été siphonnés, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA, réduites respectivement à 1 et à 0,5% des suffrages, malgré toute la mobilisation du NPA dans les luttes. El la forte et intelligente présence des militants de l’UPR sur les réseaux sociaux (voir excellent article rédigé par Eric Montana pour MEDIAZONE : “Scytl, le logiciel qui vote pour vous”, du 26 novembre 2020).


Une vidéo claire et explicite :
FRANCE / Fraude électorale 2017 avérée… Silence de plomb dans les medias !
Real Politic - 7 mai 2021



Vous pouvez visionner la Source de cette vidéo sur RUTUBE du 27 novembre 2018

Un second article de Profession Gendarme reprend et détaille les graphiques de la vidéo.

Après il sera difficile de dire qu'on ne savait pas !

Tout cela est aussi suceptible de sortir plus massivement quand Donald Trump dénoncera et affirmera plus officiellement la fraude le concernant.
Phénomène qui peut se répéter comme une chute de dominos concernant différents pays européens…

Le piège du vote en démocratie

Publié le samedi 23 octobre 2021 (par Dominique)

Alors que commencent à se déchaîner les passions, et autres engagements de potentiels candidats aux prochaines élections présidentielles françaises, Média Z a publié il y a 2 jours, le 21 octobre 2021 deux textes célèbres parus dans l’Anarchie en 1906, que je vous invite à lire et à méditer tant leurs arguments sonnent juste en cette période particulièrement chaotique de notre pays.

Contrairement à ce que nous rabâchent les politiques
depuis des décennies, voire des siècles,
voter n'est pas un devoir civique,
mais un acte de soumission à un système
qui n'a d'autre but que de nous asservir.
Il est très facile de le voir à la lumière de toutes les décisions liberticides
répétées tout au long des mois de cette pseudo crise sanitaire
qui est de fait, une crise politique majeure
dans toutes les démocraties de cette planète.

Méditer, réfléchir pour décider de participer, ou pas,
à ce qui se révèle n'être rien d'autre qu'une mascarade,
dont le peuple est la victime inconsciemment consentante !!

Électeur, c’est toi le criminel !
Placard anti-électoral, 1er mars 1906 / Publié par l’anarchie n°47 et signé Albert Libertad.

C’est toi le criminel, Ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain.
Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf.
Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.
Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?

Tu le sais et tu t’en plains !
Tu le sais et tu les nommes !
Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.

Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ?
Les gouvernés sont des subalternes et des exploités :
en connais-tu qui ne le soient pas ?

Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, – par crainte –, et que tu fabriqueras toi-même, – par croyance à l’autorité nécessaire –, des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?

Tu te plains de la police, de l’armée, de la justice, des casernes, des prisons, des administrations, des lois, des ministres, du gouvernement, des financiers, des spéculateurs, des fonctionnaires, des patrons, des prêtres, des proprios, des salaires, du chômage, du parlement, des impôts, des gabelous, des rentiers, de la cherté des vivres, des fermages et des loyers, des longues journées d’atelier et d’usine, de la maigre pitance, des privations sans nombre et de la masse infinie des iniquités sociales.

Tu te plains ; mais tu veux le maintien du système où tu végètes. Tu te révoltes parfois, mais pour recommencer toujours. C’est toi qui produis tout, qui laboures et sèmes, qui forges et tisses, qui pétris et transformes, qui construis et fabriques, qui alimentes et fécondes !

Pourquoi donc ne consommes-tu pas à ta faim ?
Pourquoi es-tu le mal vêtu, le mal nourri, le mal abrité ?
Oui, pourquoi le sans pain, le sans souliers, le sans demeure ?
Pourquoi n’es-tu pas ton maître ?
Pourquoi te courbes-tu, obéis-tu, sers-tu ?
Pourquoi es-tu l’inférieur, l’humilié, l’offensé, le serviteur, l’esclave ?

Tu élabores tout et tu ne possèdes rien ?
Tout est par toi et tu n’es rien.

Je me trompe.

Tu es l’électeur, le votard,
celui qui accepte ce qui est ;
celui qui, par le bulletin de vote,
sanctionne toutes ses misères ;
celui qui, en votant,
consacre toutes ses servitudes.


Tu es le volontaire valet, le domestique aimable, le laquais, le larbin, le chien léchant le fouet, rampant devant la poigne du maître. Tu es le sergot, le geôlier et le mouchard. Tu es le bon soldat, le portier modèle, le locataire bénévole. Tu es l’employé fidèle, le serviteur dévoué, le paysan sobre, l’ouvrier résigné de ton propre esclavage. Tu es toi-même ton bourreau. De quoi te plains-tu ?

Tu es un danger pour nous, hommes libres, pour nous, anarchistes [sic]. Tu es un danger à l’égal des tyrans, des maîtres que tu te donnes, que tu nommes, que tu soutiens, que tu nourris, que tu protèges de tes baïonnettes, que tu défends de ta force de brute, que tu exaltes de ton ignorance, que tu légalises par tes bulletins de vote, – et que tu nous imposes par ton imbécillité.

C’est bien toi le Souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries : sois satisfait, en attendant d’être fusillé aux colonies, d’être massacré aux frontières, à l’ombre de ton drapeau.

Si des langues intéressées pourlèchent ta fiente royale, Ô Souverain ! Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes, brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’ont toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.

Allons, vote bien ! Aies confiance en tes mandataires, crois en tes élus.

Mais cesse de te plaindre. Les jougs que tu subis, c’est toi-même qui te les imposes. Les crimes dont tu souffres, c’est toi qui les commets. C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime.

Nous autres, las de l’oppression des maîtres que tu nous donnes, las de supporter leur arrogance, las de supporter ta passivité, nous venons t’appeler à la réflexion, à l’action [sic].

Allons, un bon mouvement : quitte l’habit étroit de la législation, lave ton corps rudement, afin que crèvent les parasites et la vermine qui te dévorent. Alors seulement tu pourras vivre pleinement.

* * * * * * *


À l’homme qui veut voter
Les abstentionnistes / L’Anarchie, 1906 (Causeries populaires)

À nouveau, l’heure de choisir les bergers a sonné.
Elle retentit gravement au beffroi de toutes les politiques,
afin que tu ne l’oublies pas :
Tous aux urnes, pas d’abstentions,
voici le refrain final des sonneries diverses.

- Ne pas voter, c’est un pêché, dit le catholique.
- Ne pas voter, c’est être un mauvais citoyen, dit le républicain.
- Ne pas voter, c’est trahir ses frères, dit le socialiste.


Qu’est-ce donc que voter ?
C’est choisir soi-même le maître
qui vous donnera le fouet,
qui vous volera.


L’ouvrier forge les chaînes qui l’attachent, bâtit les prisons qui l’enferment, fabrique les fusils qui le tuent. Il pétrit la brioche qu’il ne mangera pas, il tisse les vêtements qu’il ne portera pas… Mais cela ne lui semble pas suffisant. Il veut paraitre le maitre, le peuple souverain, et il choisit lui-même ceux qui lui tondront la laine sur le dos. Il est le bétail, le troupeau qui nomme ses bergers.

Il croit qu’il est impossible de ne pas être dirigé, aussi veut-il se payer le chic de choisir les bergers qui frapperont son échine et les chiens qui mordront ses mollets.

Homme qui veux voter, réfléchis.

Réfléchis bien.

Les riches ne sont puissants
que par leurs bergers et leurs chiens,
et la force du berger et du chien
ne vient que de ton acceptation,
de ton obéissance, de ton vote.


Ne va plus jeter ton bulletin dans l’urne. Reste chez toi ou va te balader. Tu verras alors la tête des maîtres et des candidats. Moque-toi du vote. Ta force n’est pas dans un carré de papier. Elle est dans ton cerveau, dans tes bras, dans ta volonté, lorsque tu sauras les employer à faire tes affaires et non celle des autres.

Si tu votes, tant pis pour toi.
Tu deviens notre adversaire, car
Notre ennemi c’est notre maître,
Or, l’électeur nomme le maître
Donc l’électeur, voilà l’ennemi.


Albert, dit Albert Libertad, est né le 24 novembre 1875 à Bordeaux et mort le 12 novembre 1908 à Paris.
En 1906, Libertad multipliait les conférences anarchistes et menait une campagne contre les élections législatives.
Il accusait la population d’être complice du pouvoir en lui permettant d’y accéder.


Edito politique de Nicholas Vidal sur RT France

Publié le samedi 23 octobre 2021 (par Dominique)

Nicholas Vidal propose depuis décembre 2017, sur sa chaîne Putsch Media, de nombreux entretiens avec des personnalités aux idées très différentes de celles véhiculées par les merdias officiels, au travers d'interviews, analyses et débats sans langue de bois.

Il fait aussi un édito sur la chaîne RT France, et celle du 21 octobre 2021 revient entre autre sur le vote à l'Assemblée Nationale de la prolongation du projet de loi “vigilance sanitaire”, qui prolonge le Pass Sanitaire jusqu'au 31 juillet 2021.

Avec la hausse des prix du gaz, de l’électricité et du carburant, les Gilets jaunes étaient de retour sur les ronds-points le 16 octobre dernier. Une grogne sociale qui s’ajoute à celle contre le pass sanitaire, qui peut repartir de plus belle après l’adoption par le Parlement du projet de loi “vigilance sanitaire”.

Projet de loi “vigilance sanitaire” adopté,
retour des Gilets jaunes : l'édito de Nicolas Vidal

RT France - 21 octobre 2021


Des membres du parlement européens refusent la vaccination et le passe sanitaire

Publié le samedi 23 octobre 2021 (par Dominique)

Des membres du Parlement Européen ont tenu une conférence de presse le 22 octobre 2021, pour exprimer leur opposition aux mandats de vaccination et leur inquiétude quant à la perte des droits civils et de la liberté sur l'ensemble des états européens.

La vidéo est visible en anglais, pour l'instant sans sous-titrages sur Odysee.
Je l'indique au cas où la version sous-titrée proposée en dessous disparaitrait de YouTube.

Conférence de presse contre le passe sanitaire au parlement Européen
Le Frexit Le Frexit - 23 octobre 2021



Si tous les députés présents à cette conférence de presse ont exprimé leur opposition au mandat de vaccination et leur inquiétude quant à la perte des droits civils et de la liberté, la prise de parole de la députée Italienne Francesca Donato est particulièrement représentative des inquiétudes des députés européens.
"Nous avons une situation terrible en Europe aujourd'hui car les droits de l'homme ne sont pas respectés."

"La charte européenne des droits de l'homme devrait être prise en compte par tous les gouvernements nationaux lors de la rédaction de leurs lois.
Mais en fait il est oblitéré parce que les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle à l'emploi, l'égalité, l'éducation, santé, liberté d'expression sont gravement violés. Et dans toute l'Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées."

"Nous forçons les citoyens à recevoir un traitement de santé risqué parce que le consentement éclairé que les citoyens sont obligés de signer pour recevoir les vaccins, n'est pas libre, c'est un consentement contraint. "

"Redonnons aux gens le droit de vivre pleinement avec tous les droits de l'homme sans distinction entre les personnes vaccinées et non vaccinées. Traitons tout le monde comme des êtres humains comme notre charte des droits de l'homme nous oblige à le faire."