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Coline Serreau ne mache pas ses mots !

Publié le lundi 30 mars 2020 (par Dominique)

Coline Serreau, réalisatrice connue pour ses prises de positions claires et tranchées sur notre société, nos modes de vie et de fonctionnements… a été interviewée dans le cadre de l'émission “Grand Bien Vous Fasse”, par Ali Rebeihi sur France Inter qui s'entretient chaque matin en ligne avec une personnalité qui raconte comment elle vit son confinement.
Le 23 mars 2020, elle avait au bout du fil : Coline Serreau, lui donne le fond de sa pensée sur la situation actuelle en France.
Un véritable cri du cœur !


Photo : Coline Serreau © Getty


Vous trouverez ici le texte au format pdf contenant le lien de l'émission et celui du fichier son de l'émission en mp3.

Ils sont de nature à réveiller ceux qui étaient encore endormis, et à redonner de l'espoir à chacun en ce ses capacités créatrices et sa force d'action.

N'hésitez pas à diffuser largement.

Julie - 16 ans, décédée du Coronavirus : Manipulation des médias ?

Publié le vendredi 27 mars 2020 (par Pascal)

En voyant la photo massivement diffusée aujourd'hui d'une certaine “Julie - 16 ans, décédée du Coronavirus”, j'ai immédiatement remarqué des particularités dans la prise de vue qui me permettent d'envisager que cette photo n'est absolument pas “une photo de famille” prise “sur le vif”, mais une photo professionnelle prise par un photographe expérimenté, avec un appareil photo de qualité professionnelle.

Julie - Photo originale Fig.1

Tout d'abord, la mise au point. (Fig. 1)
Le visage est net, alors que la mèche de cheveux devant son manteau et la main sont déjà flous. Les appareils photo “grand public” ou les smartphones auraient eu une prise de vue nette sur le sujet global (l'arrière plan se trouvant naturellement flou, compte tenu de la distance)… et non à ce point concentré sur le centre de son visage. Cet effet ne s'obtient que par un réglage de focale manuel spécifique (puisque tout “focus automatique” aurait tenté de rendre net un maximum de surface)

Puis viennent les “points d'accroche” du regard du spectateur.
Pour cadrer une image, les professionnels ont le réflexe de positionner les éléments qui vont attirer l'attention du spectateur dans des zones spécifiques qui se situent sur des lignes et/ou des points de croisements de lignes par subdivision de quarts (Fig. 2 - en vert) et/ou de tiers (Fig. 3 - en rouge) de l'image globale. [Il y a un rapport avec des usages du nombre d'or utilisés en composition graphique et architecturale dont je passe les détails ici, mais qui font parti des repères de compositions et prises de vues connus de tout professionnel de l'industrie graphique.]

Julie - Photo originale Fig.2 - subdivision en quart

Julie - Photo originale Fig.3 - subdivision en tiers

Les points d'accroche principaux de cette photo sont les yeux (tout naturellement, puisque c'est un portrait), la bouche ouverte et la mèche de cheveux (Fig. 4a). Ces 4 points s'inscrivent dans un rectangle, vaguement centré dans l'image (Fig. 4b)… mais rien de tout ça n'est hasardeux ou aléatoire quand on superpose tous ces élément. (Fig. 5 - la verticale orange correspond au milieu d'une subdivision en quart [verte])

Julie - Photo originale Fig.4a

Julie - Photo originale Fig.4b

Julie - Photo originale Fig.5

S'il peut vous sembler que cette photo est un instantané pris inopinément lors d'un moment de joie naturelle et impromptue, l'addition de tous ces marqueurs pré-cités ne laissent plus aucun doute : Il s'agit d'une photo préméditée, prise de manière professionnelle, travaillée en amont et en post-production par un (des) professionnel(s).

Ça ne retire en rien la véracité des faits présentés par les médias : « une adolescente de 16  ans est décédée des suites d'un infection liée au Covid19 » … mais le choix d'une photo aussi perfectionnée à moins de 24h suivant son décès ne peut que mettre le doute sur l’authenticité des faits présentés, d'autant plus qu'au sein du même J.T., sont fustigés les ados qui, se foutant éperdument des consignes de confinement, sont pris en flagrant délits de “match de foot en plein-air”, dans le seul but de faire baisser la pression psychologique à laquelle ils sont soumis actuellement.

Ce sont les médias serviles qui sont les premiers diffuseurs de fake-news, obligeant les citoyens à chercher ailleurs les témoignages d'évènements véritablement survenus… et ainsi les exposent à de potentielles rumeurs qu'ils sont amenés à cautionner ou valider sans fondement véritable. Le discernement est actuellement une discipline de niveau olympique tant les éléments reçus (qu'elle qu'en soit la source) sont tendancieux et contradictoires.

Il suffit de quelques minutes pour fracasser le discours de ces “valets de l'État”. Recouper et démanteler les informations diffusées en mainstream dont les journalistes officiels nous inondent est quasi immédiat grâce aux connexions par tous les réseaux sociaux divers et variés auxquels nous avons accès (… pour l'instant).

L'organisation du mensonge, à une telle échelle, s'est toujours très mal terminé à travers l'histoire ; il n'y a aucune raison qu'il en soit autrement aujourd'hui.

En tout cas, la diffusion de cette unique photo de cette adolescente, sur l'ensemble des médias officiels (au moment de la rédaction de ce billet), relatant le tout premier décès, lié au Covid19, d'une adolescente sans pathologie préalable, ne peut que faire perdre toute valeur à cette annonce… Elle ne peut en aucun cas véhiculer la peur de cette infection, ni à la crainte que représenterait des ados, en pleine possession de leur force physique, en train de jouer au foot dans un parc désert !