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Cessons d'utiliser le terme de "Système Immuntaire" pour autre chose que ce qu'il est.

Publié le vendredi 30 octobre 2020 (par Pascal)

La notion de “système immunitaire” concernant la biologie humaine s'avère erronée.

Une immunité, par définition, c'est commettre un forfait, délit ou crime sans que l'auteur n'en subisse de conséquences tout en restant libre de récidiver.

Ce dont l'être humain en santé dispose, c'est d'un SYSTÈME DE DÉFENSE… contre des agresseurs (bactéries, spores, virus… et autres micro organismes) qui cherchent une immunité : agresser et proliférer en toute impunité.

Il est donc indispensable de renforcer NOTRE SYSTÈME DE DÉFENSE, de l'entretenir et de le développer le cas échéant, pour que cette recherche d'IMMUNITÉ de ces agresseurs ne se produise pas.

Ce terme galvaudé de “SYSTÈME IMMUNITAIRE” est une preuve de plus de la mystification opérée par cette « Minorité de Psychopathes Milliardaires », comme les nomme Jean-Jacques Crèvecoeur, pour inscrire dans nos pensées leur recherche d'immunité et continuer à commettre leurs forfaits en toute quiétude.

Cessons d'utiliser des mots qui entretiennent le pouvoir que ces individus détestables ont sur nos vies.
Utilisons, renforçons, NOTRE SYSTÈME DE DÉFENSE pour rejeter et ANÉANTIR DÉFINITIVEMENT ces êtres abjects qui croient encore à leur immunité !

Typhaine Pinsolle microbiologiste fait le point

Publié le mercredi 28 octobre 2020 (par Dominique)

Typhaine Pinsolle, microbiologiste, dans une succession de tweets clairs et précis fait un état parfaitement compréhensible pour tous de cette épidémie.

Pour tous ceux qui ne suivent pas le fil d'actualité sur Twitter, j'ai réuni l'ensemble de ses tweets :
“Parce que je suis microbiologiste et scientifique comme lui, je voudrai ici remercier Raoult d’être le seul à faire ce qu’il faut faire depuis le début.

Face à une pandémie liée à nouveau virus qui tue :
  • observer ce que font les autres (ici c’étaient les chinois les 1ers)
  • - le reproduire, et si on obtient les mêmes résultats, le publier pour partager l’info avec la communauté scientifique et médicale internationale.
  • - voir si on peut améliorer le traitement proposé (ajout de l’azithromicyne et du zinc) : publier.
  • développement des tests fiables.
  • tester, isoler, traiter pour limiter la propagation.
  • - ne pas faire de RCT versus placebo, car on en a pas le temps quand un virus tue 500 personnes par jour en France, et surtout ce n'est pas pas éthique (les accords d’Helsinki, ça existe !)
Face à une pandémie, on utilise donc des molécules dont on connaît l’efficacité potentielle et la sécurité d’emploi.
  • - Faire le l’épidémiologie du virus (et pas de l’épidémiologie de cas) pour étudier ses mutations et les relier à la clinique : ça, c'est de la science !
    On laisse les chiffres aux biostatisticiens et modélisateurs en tous genres.
  • - corréler charge virale et dose infectante (pour connaître les contagieux)
En ayant fait tout ceci : il nous apprend quelque chose que l’on a jamais vu :
  • - on ne peut pas parler de virus saisonnier, Ni de 2ème vague.
  • - ce virus génère des variants entraînant une clinique différente (symptômes, et même résistance à l’Hydroxychloroquine parfois)
  • - les anti-corps développés contre le 1er variant ne sont pas efficaces sur les suivants… déjà qu’on savait qu’ils ne persistaient pas longtemps : vaccin out !
Enfin, ce coronavirus semble pouvoir se recombiner avec d’autres virus, dont les rhinovirus : on comprend alors pourquoi les tests PCR détectent tout et n’importe quoi (sans parler des cycles de tests trop élevés) !

Merci pour tout : la Science et les patients, Prof. Raoult !

Tout ça en 8 mois, et + de 800 génomes séquencés (j’attends que le C.N.R. en fasse autant !).
Et c'est cet homme que l’on veut empêcher de soigner ??
Enfin, bravo et merci au Pr. Perronne d’avoir suivi Raoult malgré leurs profonds différents sur la maladie de Lyme !”

Pour celles et ceux qui auraient envie de la suivre, rendez-vous sur Twitter !