j'ai trouvé à compéter cette page de citations éditée en janvier, à la suite d'un article publié dans le numéro 97 de la revue Nexus.
Aux citations glanées ça et là sur le web depuis des années et déjà partagée, j'ai trouvé judicieux d'en ajouter quelques unes qui me semblent particulièrement de circonstance aux regard des évènements que nous connaissons depuis le début de cette année 2015.

Certaines d'entre elles m'ont paru de nature à compléter mes précédents billets, et particulièrement propices pour ouvrir les yeux, les oreilles et exercer nos sens en permettant d'améliorer l'observation et le discernement.

Si vous les trouvez judicieuses n'hésitez pas à les partager !!

“Il est aussi dans l'intérêt d'un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu'il ne puisse pas se protéger par les armes, et qu'il soit si occupé à ses tâches quotidiennes qu'il n'ait pas le temps pour la rébellion”.
Aristote, Philosophe IVème siècle avant J.C.

“Qu'est-ce que l'histoire, sinon une fable sur laquelle tout le monde est d'accord .
Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers , et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L'argent n'a pas de patrie, les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de decence, leur unique objectif est le gain”.

Napoléon Bonaparte

“Il y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où se trouvent les véritables causes des évènements”.
Honoré de Balzac, écrivain français

“En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi”.
Franklin D. Roosevelt, Président des États-Unis de 1932 à 1945

“Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité”.
Nicholas Murray Butler, Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)

“… le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le supercapitalisme et le communisme sous la même bannière et sous leur contrôle. […] Est-ce que j'entends par là qu'il s'agit d'une conspiration  Oui, en effet. Je suis convaincu qu'il y a un tel complot, d'envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations et de nature particulièrement maléfique”.
Lawrence Patton McDonald, Congressiste américain (1935-1983)

“Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d'une quelconque menace de l'extérieur, mais d'avantage à cause des forces incidieuses qui y opèrent de l'intérieur”.
Général Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées dans le Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale

“Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : Une banque centrale et un impôt progressif, pour que les gens ne s'en rendent pas compte”.
Karl Marx

“Répétez un mensonge assez fort et assez longtemps et des gens le croiront.
Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine.”

Adolph Hitler

“Seuls les plus petits secrets ont besoin d'être protégés. Les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique”.
Marshall McLuhan, Auteur et chercheur canadien (1911-1980)

“Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau”.
Benjamin Disraeli, Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880

“Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial”.
David Rockefeller

“Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n'était”.
Winston Churchill, Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955

“L'ennemi numéro 1 de tout État est l'homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l'État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S'il ne l'est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l'État”.
Henry Louis Mencken, Journaliste, écrivain et libre penseur, l'un des écrivains américains les plus influents du 20e siècle (1880-1956)

“Washington a ressuscité l'Opération Gladio, qui consistait en des bombes que la CIA faisait exploser contre des cibles européennes après la guerre, dont Washington accusait les communistes pour détruire leur influence dans les élections européennes. Exactement comme on laissait croire au monde que les communistes étaient derrière les attentas terroristes des Opérations Gladio, les musulmans sont accusés des attaques terroristes contre le magazine satirique français (Charlie Hebdo - janvier 2015).
La question romaine est toujours : À qui cela profite-t-il  La réponse est : pas à la France, pas aux musulmans, mais à l'hégémonie étasunienne dans le monde. C'est cela qu'entretient la CIA. Cette hégémonie est la politique étrangère néoconservatrice imposée des Etats-Unis”.

Paul Craig Roberts, rédacteur adjoint au Wall Street Journal et Secrétaire adjoint au Trésor étatsunien sous l’administration Reagan.

“La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort !”
François Mitterrand, Président de la Vème République Française (1981 à 1995) dans Le dernier Mitterrand de Georges-Marc Benamou” – 1997.

“Après 1981, je demandais à François Mitterrand :
- Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis 
Il me répondait qu'il n'avait pas le pouvoir d'affronter la Banque Mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu'il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir.
J'appris ainsi qu'être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J'ai vécu l'expérience directement durant quatorze ans. En France, on élit, et les élus font des lois qu'ils n'ont jamais proposées et dont nous n'avons jamais voulu. La France est-elle une démocratie  Une puissance mondiale  Je le dis en tant que Française: cela ne veut rien dire”.

Danièle Mitterrand, Epouse de François Mitterrand, Président de la Vème République Française de 1981 à 1995.

“Quand vous arrivez à la tête d'un pays, des présidents virtuels prennent les décisions à votre place”.
Bill Clinton, Président des USA en 1998.

“Ce que ces hommes voulaient : une Amérique qui contrôlerait le monde et toutes ses ressources, un monde qui obéirait aux ordres de cette Amérique, une force militaire américaine qui ferait appliquer les règlements définis par l’Amérique, et un système banquier et commercial international qui soutiendrait l’Amérique comme PDG de l’empire global. […] La subtilité des moyens utilisés pour créer cet empire moderne ferait rougir de honte les centurions romains, les conquistadors espagnols et les puissances coloniales européennes (…) Aujourd’hui on ne porte plus l’épée. On ne porte ni armure ni costume distinctif (…) c’est ainsi que le système fonctionne. Ils commettent rarement des actes illégaux, car le système lui-même repose sur le subterfuge et est légitime par définition”.
John Perkins, dans Les confessions d’un assassin financier, éditions Alterre, p.XXIV..

“(Il parle de Nick Rockefeller) Il m'a fait ces confidences 11 mois avant les attentats du 11 septembre 2001. Il m'a dit alors qu'un évènement allait se produire. Il ne m'a pas dit de quoi il s'agisssait. Mais il m'a dit qu'à partir de cet évènement nous allions envahir l'Afghanistan, construire des pipelines pour amener le pétrole de la Caspienne, que nous allions envahir l'Irak pour prendre le contrôle du pétrole au Moyen-Orient et pouvoir nous implanter là-bas et intégrer cette région dans un nouvel ordre mondial et qu'ensuite nous irions nous occuper de Chavez, au Vénézuela. Je me rappelle qu'il me disait qu'on verrait des soldats fouiller des grottes, à la recherche des responsables, en Afghanistan, au Pakistan et dans toutes ces régions-là. Il y aurait alors une guerre contre le terrorisme où il n'y aurait pas de véritable ennemi. Tout cela ne serait qu'un mystification. Ce serait une façon pour le gouvernement de contrôler les Américains”.
Aaron Russo,(1943 -2007), Producteur et réalisateur américain de films - interview sur le 11 septembre et Nick Rockefeller (2007). L'interview complet transcrit et traduit ici.