Robert Malone, biologiste moléculaire, épidémiologiste, spécialiste des maladies infectieuses et inventeur de la technologie de l’ARN messager, s'explique dans un débriefing de FranceSoir.

Il évoque l’invention de cette technologie de l’ARN messager il y a 30 ans.
C'est donc une technologie qui n'est pas nouvelle.

Ses recherches se portent ensuite essentiellement sur la recherche d’une technologie qui permettrait d’envoyer efficacement de l’ARN dans les cellules mais également sur toute la technologie parallèle, notamment la préparation de ces procédés à grande échelle, la synthèse et la purification de l’ARN.
À l’origine de sa démarche, la volonté de fabriquer des vaccins sur la base d’ADN et d’ARN qui a rencontré beaucoup de difficultés avant l’invention des vaccins ADN en 1990.
À propos de la pandémie du Sars CoV-2 et des vaccins Moderna, Curevac ou BioNtech, Malone parle d’échec de ces thérapies vaccinales qui ne serait pas, selon lui, dû à la technologie, mais à la complexité du domaine thérapeutique.

Alerté par des médecins et des patients des effets indésirables des vaccins contre le Sars CoV-2, il relit le document Pfizer, s’étonne et s’inquiète de ce qu’il lit, résultat d'un travail peu professionnel. Il découvre que les études de biodistribution sont non conformes aux bonnes pratiques de laboratoire puisqu’ils n’ont pas utilisé l’ARN codant pour la Spike, mais un ARN de luciférase. Malheureusement, cet aspect n’est qu’un des très nombreux dysfonctionnements sur lesquels il revient dans l'entretien. Ce n’est pas la technologie des vaccins qui pose problème, mais la protéine native Spike qui est toxique.

Robert Malone, pionnier des vaccins ARNm :
“Je déclare que la protéine native Spike est toxique” [VOSTFR]




Dr Robert Malone, pionnier de la technologie à ARN Messager, met en garde sur Fox News _VOSTFR



À la lumière de ces explications, l'article de L'Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB) en date du 25 juillet 2021 apporte des compléments d'informations indispensables pour les populations visées par une prochaine obligation vaccinale.

La comparaison entre mortalité par Covid et létalité due aux vaccins est juste catastrophique

3 points clés de cet article :
  • Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19.
  • Selon les statistiques actuelles, la vaccination des 12-14 ans pourrait entrainer 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.
  • À ce jour, aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19.
20% des Députés, avec l'aval du Sénat, s’apprêtent à imposer le Pass sanitaire, mesure particulièrement liberticide et honteuse, puisque n'importe qui, sans aucune qualification médicale, aura accès à nos données confidentielles de santé pour entrer dans un cinéma, un centre commercial, une salle de sport, un restaurant…
Nous sommes dans une situation pire que celle qu'on connu les français entre 1939 et 1945 !

L'autre but étant la vaccination de toute la population entre 12 ans et l'âge le plus avancé. Donc aussi les fœtus, puisque des médecins osent la recommander à des femmes enceintes, qui sont nombreuses à faire une fausse couche dans les jours qui suivent l'injection, comme le démontrent les nombreux témoignages sur les réseaux sociaux depuis quelques semaines.

L'article propose une comparaison entre la mortalité Covid-19 et la létalité de la vaccination.

Les tableaux présentés dans l'article ont été construits à partir des données suivantes facilement consultables : Il ressort de ces recherches que pour les personnes âgées de moins de 45 ans :
  • Le risque de décès après vaccination est 140% plus élevé par rapport à la mortalité Covid-19.
  • Le risque d’effet secondaire très grave entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé après vaccination est jusque 370% plus élevé par rapport au Covid-19.
  • Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est 60 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé.
La vaccination des adolescents de plus de 12 ans pourrait entraîner 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.

Ajoutons à ce constat à court terme, le fait que les effets secondaires à moyen et long terme (3 à 10 ans) sont totalement inconnus.

Notez que ces vaccins n’ont reçu qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) conditionnelle , ce qui signifie que l’évaluation de leur efficacité et de leur innocuité est encore en cours.

Un article très complet sur FranceSoir : Pourquoi la vaccination obligatoire anti-covid viole l’État de droit ? détaille les différentes phases des essais cliniques des médicaments, évoque la question du consentement libre et éclairé...

Chacun de nous est placé devant un choix vital :
Est-ce que j'accepte d'être
un cobaye d'une expérience à l'échelle mondiale,
dont je ne sais absolument rien
quand aux conséquences sur ma santé ?

Ou bien, je me respecte,
et souhaite, avant tout garder
mon intégrité physique et mentale,
et je refuse !


En complément, je vous propose de re-voir le dialogue “Pilule bleue ou pilule rouge” (3min. 12sec.) entre Morphéus et Néo dans le film “Matrix” (1999), que je trouve être une illustration métaphorique pertinente du choix qui se présente à nous tous.